IMPORTANT: Du nouveau à propos de l'huile Lesieur !

Cyber @ction 266 : Huile au pétrole: pas dans nos assiettes !

 

Depuis quelques semaines, la Commission européenne et le gouvernement français laissent une huile contaminée par des hydrocarbures passer dans la chaîne alimentaire. A petites doses, elle arrive dans nos assiettes à notre insu, mais avec l'aval des pouvoirs publics.

 

Au point de départ de cette affaire, il y a une alerte lancée le 22 avril par un industriel suite à la détection d'une « huile minérale pure » dans de l'huile de tournesol achetée à Lesieur. Le lot contaminé provient d'Ukraine et l'ensemble de la cargaison a semble-t- il été saisi.

 

Mais des contrôles menés a posteriori ont révélé qu'une autre importation ukrainienne, déchargée à Sète en février, était elle aussi contaminée. Et pour ce lot, le « rattrapage » est beaucoup plus compliqué car l'huile est déjà dans la chaîne alimentaire.

 

 

La France n'est sans doute pas le seul pays concerné : 

l'Allemagne,les Pays-Bas, l'Italie, la Grèce, Malte et l'Espagne sont eux aussi importateurs d'huile ukrainienne.

 

Les agences sanitaires européennes et françaises ont été saisies en urgence pour évaluer le risque potentiel pour les consommateurs. 

Mais, curieusement, les pouvoirs publics se sont appuyés sur l'expertise des toxicologues pour définir un niveau de contamination tolérable, réputé sans risque pour la santé ! Concrètement, seuls les produits contenant plus de 10% d'huile de tournesol contaminée font l'objet d'un retrait. Pour le reste, ce sont les consommateurs européens qui dégustent...

 

Rappelons que, d'après l'administration française, le contaminant provient du raffinage du pétrole. Il est destiné à lubrifier des machines et non à entrer dans la composition des vinaigrettes, plats cuisinés ou mayonnaises !

 

Et pour couronner le tout, les pouvoirs publics émettent de simples « recommandations » qui, par définition ne sont pas contraignantes, pour les professionnels.

 

L'association de consommateurs CLCV (www.clcv.org) considère que cette crise est gérée d'une façon déplorable.

 

En effet :

 

- Dans son avis du 7 mai, l'Agence française de sécurité sanitaire des aliments souligne qu'il serait souhaitable de préciser plus finement la composition du contaminant. Les experts ne peuvent exclure qu'une fraction des huiles indésirables présente des risques plus élevés pour les consommateurs;

 

- Quand bien même il n'y aurait aucun risque sanitaire avéré, il est nadmissible que des produits qui n'ont rien à faire dans la chaîne alimentaire y soient ainsi tolérés ;

 

- Enfin, si l'origine de l'affaire est bien frauduleuse, comme tout semble l'indiquer, les autorités auront fait preuve d'un laxisme consternant en admettant qu'un produit non conforme soit proposé aux consommateurs.

 

L'association de consommateurs CLCV (www.clcv.org) demande que :

o Tous les produits potentiellement contaminés soient retirés purement et simplement de la chaîne alimentaire ; o Cette mesure de retrait ne soit pas une simple recommandation mais une obligation pour tous les professionnels.

 

Nous vous invitons à signer cette cyber @ction pour faire pression dans ce sens sur la commission européenne et le gouvernement français.

 

Charles PERNIN www.lepointsurlatable.fr, www.clcv.org, Alain UGUEN www.cyberacteurs.org

 

                                                     COMMENT AGIR ?

 

Sur le site

Cette cyber @ction est signable en ligne

http://www.cyberacteurs.org/actions/lettre.php?id=289

 

Par courrier électronique

C'EST FACILE : A VOUS DE SUIVRE LES 6 ETAPES SUIVANTES :

 

1- Copiez LE TEXTE À ENVOYER ci-dessous entre les ############

2- Ouvrez un nouveau message et collez le texte

3- Signez le : prénom, nom, adresse, ville

4- Rajouter l'objet de votre choix : Huile au pétrole: pas dans nos assiettes !

5- Adressez votre message aux adresses suivantes :

 

communication@dgccrf.finances.gouv.fr

Helen.Kearns@ec.europa.eu

cyberacteurs@wanadoo.fr

p.ziade@prolea.com

serviceplus@Unilever.com

contact@lesieur.com

consommateurs@saupiquet.com

contactpressecarrefour@rpca.fr

infos@ania.net

service.consommateur@fleurymichon.fr

 

Si vous copiez toutes ces adresses, vous pourrez les coller dans les destinataires du message

 

Si vous ne savez pas copier coller essayez les formules simplifiées

 

  cliquer ici :

<mailto:cyberacteurs@wanadoo.fr;Helen.Kearns@ec.europa.eu>

ou ici (selon votre logiciel de messagerie <mailto:cyberacteurs@wanadoo.fr,Helen.Kearns@ec.europa.eu>

 

Vérifiez que les 2 adresses apparaissent bien

 

6- Envoyez le message

 

Cette cyber @ction est aussi signable en ligne http://www.cyberacteurs.org

 

Par cette action, vous ferez connaître votre opinion

- (dans la version simplifiée à la direction de la Consommation de la Commission Européenne  et à Cyber @cteurs pour nous permettre d'évaluer l'impact de cette action.

- sur le site ou en copiant toutes les adresses, vous alerterez aussi la Direction de la Concurrence et de la Consommation française et les entreprises susceptibles d'utiliser l'huile incriminée : 

SAIPOL,Unilever France,service consommateur Lesieur, Saupiquet, Carrefour, Association Nationale de l'Industrie agroalimentaire

 

############

 

Prénom, Nom

Profession :

Adresse :

code postal Localité :

 

Madame, Monsieur,

 

En accord avec l'association de consommateurs CLCV et l'Association Cyber @cteurs je vous demande  que :

 

o Tous les produits potentiellement contaminés par des huiles minérales soient retirés purement et simplement de la chaîne alimentaire ; o Cette mesure de retrait ne soit pas une simple recommandation mais une obligation pour tous les professionnels.

Je vous prie d'agréer, Madame, Monsieur, mes salutations distinguées.

 

############

 

Autres adresses où vous pouvez adresser des messages

 

Huile frelatée

Sofiprotéol : Fabien Kay, Tél : 01 40 69 49 58 Mobile : 06 08 35 58

89 - Email : f.kay@prolea.com

SAIPOL : Pauline Ziadé, Tél : 01 40 69 48 56 Mobile : 06 74 80 54 12

- Email : p.ziade@prolea.com

PROLEA - Fabien Kay - Responsable relations presse - Tél : 01 40 69

49 58 - Email : f.kay@prolea.com

SAIPOL = SOCIÉTÉ AGRO INDUSTRIELLE DE PATRIMOINE OLÉAGINEUX =========================================

Unilever France (marques Knorr, Magnum, Astra, Puget, Fruit d'Or, Miko, Planta Fin, Amora, Maille …)

23 rue François Jacob

92842 Rueil Malmaison cedex

Tél : 01 41 96 51 00 ou 01 41 96 62 00

serviceplus@Unilever.com

 

source : http://www.unilever.com/ourbrands/foods/carelinelist.asp

=========================================

LESIEUR :

service consommateur Lesieur : contact@lesieur.com 01.41.43.16.35

29 quai Aulagnier

92665 Asnières sur Seine

N° Azur : 0 810 193 702 (prix d'un appel local depuis une ligne fixe) http://www.lesieur.fr/ ou http://www.lesieur.com/ http://www.lesieur.fr/lesieur/fr/parlons/index.html (ouvre un formulaire en ligne).

Marques : Epi d'or, Frial, Fruidor, Lesieur, Olï, Le Jardin d'Orante, Isio4, Carapelli =========================================

Service Consommateurs Groupe Auchan

200 rue des la Recherche BP 682

59656 Villeneuve d'Ascq Cedex

Tél. : 03.28.37.67.00. N° azur : 0.810.28.24.26. Du lundi au samedi de 9h à 20h.

http://www.auchan.fr ou http://www.auchan.fr/html/contact/

contacts.asp (formulaire contact en ligne).

=========================================

Saupiquet (Marques : Furic, Paul Chacun, Pêcheurs de France, Saupiquet.)

17 bd G. Doumergue BP 50209

44200 Nantes cedex 02

Tél. : 02.51.88.32.32. N° Vert : 0.800.06.06.06.

http://www.saupiquet.com/

E-mail : consommateurs@saupiquet.com

=========================================

Service Consommateurs Carrefour France

26 Quai Michelet TSA 50010 92695 Levallois Perret Cedex Tél. : 01.58.63.30.00. N° Azur : 0.810.06.60.00.

=

Direction Générale Groupe Carrefour :

TSA 20016 92695 Levallois Perret cedex Tél : 01 55 63 39 00  Fax : 01

55 63 39 01

=

Service de presse Alimentaire et Cosmétique : RPCA 65, rue Chardon Lagache 75016 PARIS Tél : 01 42 30 81 00 Fax : 01 40 50 35 55  E.mail : 

contactpressecarrefour@rpca.fr

Site web : http://www.carrefour.fr  Formulaire de contact en ligne : 

http://www.carrefour.fr/contact/question/

=========================================

Fédération du commerce et de la distribution Page ouvrant un formulaire de contact ; http://www.fcd.asso.fr/

index.php?page=5

 

=========================================

 

ANIA (Association Nationale de l'Industrie agroalimentaire) : 

infos@ania.net

=========================================

 

Intermarché

Page ouvrant un forulaire de contact :  http://www.intermarche.com/ contact.aspx

 

=========================================

Fleury Michon : service.consommateur@fleurymichon.fr

 

DGCCRF : webmestre@dgccrf.finances.gouv.fr <webmestre@dgccrf.finances.gouv.fr>

 

DGAL : infodoc@agriculture.gouv.fr infodoc@agriculture.gouv.fr

 

DG sanco :page ouvrant un formulaire de contact :

http://ec.europa.eu/dgs/health_consumer/dyna/mailbox/index_en.cfm

 

 


23/06/2008
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Madagascar: le naufrage du Gulser Ana et ses conséquences...

Le vraquier « Gulser Ana » se trouvait parmi les 66 navires-poubelles inscrits dans la liste noire des bateaux jugés dangereux au sein de l’Union Européenne, depuis 2002

Le « Gulser Ana », battant pavillon turc, a fait naufrage au large du village de Faux Cap, le 26 août dernier. Ce vraquier transportait 39.000 tonnes de phosphate brut, 568 tonnes de carburant, 66 tonnes de fuel et 8000 litres de lubrifiant. Peu après le naufrage, ces produits se sont déversés dans l’Océan Indien.

Plus de 20 000 personnes, sur les 40 000 que compte la région, ont été affectées par les conséquences du naufrage. L’étude a notamment mis en exergue les effets de l’interdiction de la pêche, pour une période de trois mois, sur la subsistance des familles. La pêche constitue en effet la seule source de revenu pour 25 à 40 pour cent d’entre elles.

Je vous invite à lire ce texte en entier en cliquant sur l'image qui fera lien.


01/11/2009
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SOS oiseaux en détresse 25 octobre 2009

texte traduit avec Google traduction:

Des vagues de l'océan d'algues ont tué des milliers d'oiseaux de mer sur les côtes de Washington et Oregon. Maintenant un centre de la faune sauvage dans le comté de Snohomish sauve quelques-unes des créatures à plumes. Les oiseaux sont en convalescence à PAWS Wildlife Center à Lynnwood - des centaines de miles, d'où ils ont été trouvés le long de la côte du Pacifique. Une prolifération d'algues inhabituelle est à l'origine des oiseaux de mer de perdre l'étanchéité à l'eau sur leurs plumes - qui affecte leur capacité de voler, flotter et rester au chaud. "Alors ils se échouage sur le sable, et ils ont effectivement ne peuvent pas retourner dans l'eau parce qu'ils ne sont pas étanches», explique Jennifer Convey Directeur de la faune. "Et puis ils sont assis là et mourir de faim bascially. Plus d'une centaine d'oiseaux sont en cours de réhabilitation ici ce week-end, logés dans des enclos couverts. La principale mission: Obtenir que la mousse, visqueuse algues toxiques lessivés par les trempant dans et hors des cuves géantes. Certains des oiseaux sont si mal logée dont ils auront besoin d'être lavée à la main. Le nettoyage et le processus de désintoxication est longue. Il faudra environ une semaine de baignade et de séchage, de baignade et de séchage, avant que les oiseaux sont enfin à nouveau libres. Transmettez dit les oiseaux les plus probables seront relâchés autour de parties de Puget Sound, au lieu de la côte. Pour PAWS, l'effort de secours est coûteux. La facture d'eau à elle seule devrait monter en flèche. «Dans cette situation particulière, nous avons à puiser dans les bouches d'incendie à avoir la pression d'eau appropriée pour toutes les piscines que nous avons en cours d'exécution», dit transmettre. Le groupe dit avoir besoin donnés draps et des serviettes pour aider à garder les oiseaux protégées et au chaud pendant un moment de l'année où ils sont normalement toujours sur l'eau.  (RSOE EDIS)
 
Alors comme ça des oiseaux meurent par milliers et presque personne n'en parle.
 
Ce phytoplancton s'appelle:
akashiwo sanguinea
 
 
En même temps, au même endroit, au même moment:
 
 
Le tourbillon d'activités estivales mai être enroulement vers le bas sur la côte de l'Oregon, mais il n'y a pas eu de répit chez les oiseaux étant fauché par les conducteurs sur la plage.

Samedi, les corps de huit oiseaux protégées ont été trouvés sur le sable juste au nord de l'entrée de Gearhart Beach par Fee Sharnelle, directeur du Centre de la faune de la Côte-Nord dans Astoria.

Payant dit qu'elle a trouvé les corps des oiseaux morts à peu près chaque semaine pendant tout l'été, qui a débuté sur une note inquiétante à la fin de Juin, quand un homme de Washington a tué près de 50 oiseaux de rivage de la péninsule de Long Beach.

Cette affaire a été l'une des pires Fee a jamais vu, mais tue les oiseaux sont loin d'être inhabituel.

"Dans de nombreux cas, les marées laver juste les organes de là, dit-elle. «Je pense que nous voyons que la pointe de l'iceberg».

Pour tenter d'endiguer le massacre, un de ses bénévoles a été mise à feu hors nouvelles communiqués de cet été, et offrant des récompenses allant jusqu'à 1000 $ pour toute information menant à une arrestation.

Les oiseaux marins sont protégés par le fédéral d'oiseaux migrateurs Loi du Traité de 1918, faisant de blesser ou de tuer un délit de catégorie B. Selon les directives de la peine fédérale, cela pourrait impliquer une peine pouvant aller jusqu'à six mois de prison et une amende de 15,000 $.

Peu de gens jamais entraîné une condamnation, cependant.

"Personne n'est l'objet de poursuites, sauf si vous les attraper", a déclaré Bob Hahn, un ancien sergent Clatsop du shérif du comté qui patrouille les plages.

Hahn a déclaré que les oiseaux est probablement mort après la marée basse à 2h30 du matin, mais il ne sait pas avec certitude.

"Personne ne s'arrêtait, nous ne savons donc pas ce qui s'est passé", a déclaré Tom Bergin, Clatsop shérif du comté.

Mais Fee dit que la scène portait les signes habituels d'un oiseau mort. Leurs corps ont ensanglanté comme si elles avaient été touchées, et il y avait un tourbillon de traces de pneus sur la plage.

En vertu de loi de l'Oregon, il est légal de rouler sur des sections désignées de la plage jusqu'à un maximum de 25 miles par heure. Si les véhicules sont beaucoup plus rapides, les oiseaux n'ont pas assez de temps à se disperser.

Les cinq sterne caspienne et trois goélands de Californie a révélé samedi inclus sur un mineur, Fee dit.

"Il a été sur la plage d'apprendre à voler de ses parents et maintenant c'est fini, dit-elle.

Les autres oiseaux ont été en bonne santé et au moins 5 à 6 ans, les rendant sexuellement matures.

Leur mort signifie une plus petite population d'oiseaux de mer, dit-elle.

"Ils doivent faire beaucoup de vie pour arriver à un âge de procréer», dit-Fee. "D'habitude, ils soulèvent un seul bébé alors qu'il en faut beaucoup pour remplacer un adulte qui a été tué. Et ils ne sont pas toujours couronnés de succès dans la reproduction de chaque année."

Bénévole de la faune Dr. Virginia Huang offre de 500 $ pour toute information au sujet de cette affaire.

Bien que Bergin apprécie le travail du Centre en essayant de sauver les oiseaux, dit-il tue les oiseaux ne sont pas une priorité pour son ministère, qui doit composer avec une liste complète de délits.

«Nous avons tout ce que Portland a," a déclaré Bergin. «Nous avons même eu des meurtres double là-bas. (oregonlive.com)
 
Donc, si je comprends bien, en Oregon, ils ont la totale...
 
PAUVRES OISEAUX !
 
 
 
 
 
 

25/10/2009
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suggestion d'article: Les cinq stades de l'effondrement

 
 

24/09/2009
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Un certain regard...

Quel gouffre infini s'offre à l'âme qui souffre, se plongeant en se disloquant dans les méandres des recoins d'une misérable vie. Cette souffrance qui ne l'a lâche pas, qui l'a harcèle, seconde après seconde, jetant de toute sa haine un cri d'effroi aux humains passant par là. L'âme humaine est dans un drôle d'état, souillée, meurtrie, déglinguée, usée... elle ne doit son salue à la seule constatation d'être née quelque part sur terre où d'autres âmes vivent, meurtries elles aussi et tour à tour, ces âmes se harcèlent et n'en finissent pas d'avoir la haine, profond désarroi qui les mène à la guerre. Abjectes visions de l'horreur auxquelles j'assiste tous les jours, d'une façon modérée, vue par la télé. Dois-je arrêter de regarder, d'écouter pour ne plus souffrir avec ceux qui n'en peuvent plus de subir?

Où est la tolérance?

Jusqu'où va l'ignorance?

 

 


03/09/2009
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Vers un contrôle social bionique et forcé

 

 

La puce " Digital Angel " fabriquée par la société américaine Applied Digital Solutions, permet l'identification et la localisation par satellite des individus. Il s'agit d'une puce électronique de la taille d'un grain de riz et qui est implantée sous la peau. Elle est aussi capable de renvoyer des informations biologiques sur son porteur (température du corps, rythme cardiaque, etc).

Une autre version de la puce appelée " Veripay " de la firm Veri chip a été présentée en Novembre 2003 au salon ID World à Paris. Elle permet d'y inscrire des données personnelles en vue de servir de carte d'identité ou de carte de crédit.


12/07/2009
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Qu'est-ce que la plupart des gens ne savent pas

Le Site Officiel
of the Henry T. Laurency de la Henry T. Laurency

Un éminent scientifique moderne répond à la question de savoir si l'humanité n'a pas encore réussi à explorer un pour cent de la réalité: «Non, même pas un dix-millième d'un pour cent".

Site anglais. Y a qu'à traduire !


08/07/2009
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Jacques Attali: “En Angleterre, la Bourgeoisie Juive finance des Imams” !

Je viens de trouver un site:

PROPAGEONS LA VERITE

Au fait... certains prévoient la fermeture des banques américaines pour septembre.

Je vous laisse imaginer la suite !

Un autre site:

Alors... Ce Nouvel Ordre Mondial...
Allons-nous attendre, sans rien faire, que les bergers malveillants continuent à nous mener sur le chemin de la perdition, selon LEURS intérêts et désirs ?
Ou allons-nous agir en conséquence afin de prendre en mains notre destinée, selon NOS intérêts et désirs ?
Nous sommes ceux que nous attendons...

C'est quoi ce nouvel ordre mondial ?

 

 


05/07/2009
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L'eau potable et le cancer : recommandations de consommation

L’eau du robinet est en général de bonne qualité en France si l’on prend comme critères d’évaluation les normes réglementaires. Cependant, les personnes malades du cancer ou qui sont passées par la maladie doivent bénéficier d’une eau potable de qualité irréprochable au nom du principe de précaution. Or, de nombreuses études établissent des liens entre cancer et polluants de l’eau.

l' article entier:

notre-panète.infos

Du chlore, du plomb, des substances médicamenteuses, des nitrates et des pesticides !

 la combinaison de plusieurs pesticides dans l’eau (« effet cocktail ») a des effets toxiques même lorsque chaque composé est individuellement au seuil toléré par les autorités. Enfin, plusieurs pesticides ont des actions hormonales démontrées (changement de sexe des têtards ou féminisation des poissons dans les rivières). Comme ils ne sont pas tous éliminés par les unités de traitement de l’eau, des dépassements sont constatés. Il est possible que l’eau contaminée agisse de façon délétère sur les personnes porteuses de cancers sensibles aux hormones (sein, ovaire, utérus, prostate, cerveau, par exemple).

Pesticides chimiques
Les pesticides chimiques, herbicides, insecticides et fongicides, sont utilisés depuis 60ans en agriculture pour combattre les mauvaises herbes, les ravageurs et maladies des végétaux et en santé pour lutter contre les insectes vecteurs de maladies humaines ou animales. Toxiques et persistants, ils sont aujourd'hui une des principales sources de pollution de notre environnement et leurs résidus menacent la santé humaine ...

 


23/06/2009
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L'environnement ne doit pas polluer les profits ! :

 

 

53 % des dirigeants français ne mettraient pas en place des pratiques favorables 

à l’environnement si elles avaient des effets négatifs sur le résultat de leur entreprise

 

Une étude de Grant Thornton, groupe leader d’audit et de conseil en France et dans le monde, menée par Experian Business Strategies Ltd. auprès d’un panel de 7 200 entreprises privées – à travers 36 pays qui représentent 81 % du PIB mondial – montre que plus d’un dirigeant français sur deux (53 %) ne mettrait pas en place des pratiques favorables à l’environnement si elles avaient des effets négatifs sur le résultat de leur entreprise.

 

L’étude pointe d'énormes disparités entre pays. En effet, elle montre que 43 % des dirigeants européens et 36 % des chefs d’entreprises au niveau mondial ne désirent pas initier une politique "verte" dans la mesure où elle aurait une incidence sur leurs profits. Dans le détail,  ils sont 61 % de dirigeants danois,49 % d’anglais et 43 % d’allemands à ne pas penser mettre en place des mesures de développement durable si elles avaient un coût contre seulement 26 % des chefs d’entreprises suédois et 20 % des grecs. 

 

Robin Edme, Associé de Grant Thornton Ecodurable®, explique : « Ces résultats sont à relativiser, au moins pour l’Europe, dans la mesure où les obligations environnementales sont déjà très fortes et que le contrôle des impacts environnementaux est très encadré. Les politiques "vertes" des entreprises françaises et européennes sont déjà anciennes. En revanche, ces résultats montrent bien que toute politique de développement durable, pour être intégrée au cœur de la stratégie, doit faire la preuve de son impact sur la performance économique et financière de l’entreprise ».

 

Outre-Atlantique, ce sont 46 % des chefs d’entreprises américains qui seraient prêt à initier des actions pour lutter contre le réchauffement climatique, 43 % des dirigeants brésiliens, 55 % des canadiens et 60 % des mexicains.

 

Autre enseignement dispensé par l'enquête : la proportion de chefs d’entreprises français pensant que les milieux d’affaires sont favorables à la protection de l’environnement est 2 moins élevée que la moyenne mondiale. Ils sont ainsi 41 % en France, contre 46 % au niveau européen et 49 % au niveau mondial.

 

Dans les pays du nord de l’Europe, en revanche, la green attitude est plus ancrée, même si certains contrastes apparaissent. Pour preuve, 69 % des dirigeants danois, 63 % des finlandais, 61 % des allemands et 60 % des suédois pensent que les milieux d’affaires sont favorables à la protection de l’environnement, contre seulement 20 % des belges et 40 % des anglais. A contrario, Seuls 16 % des chefs d’entreprises grecs, 18 % des turcs et 28 % des chinois, à égalité avec les russes, considèrent la protection de l’environnement comme un objectif prioritaire.

 

Robin Edme de poursuivre : « Là encore, une lecture circonstanciée des résultats s’impose et met en exergue le fait qu’il est aujourd’hui nécessaire de passer d’une approche passive des enjeux environnementaux, c'est-à-dire se prémunir contre un risque, à une approche plus active, autrement dit les considérer comme des opportunités pour l’entreprise, en termes de réduction de coûts, de gains de productivité et de captation de nouveaux marchés ». 


23/06/2009
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La plus ancienne carte d’étoiles connue

Un document spectaculaire de l’histoire de l’astronomie vient d’être remis en lumière par l’étude d’un  groupe de chercheurs conduit par Jean-Marc Bonnet-Bidaud du Service d’Astrophysique du CEA-Irfu [1].
Le document, désigné sous le nom de carte de Dunhuang et conservé à la British Library de Londres, est un atlas céleste complet découvert en 1900 parmi 40 000 manuscripts précieux entreposés dans les Caves de Mogao, un monastère bouddhique sur la Route de la Soie chinoise. Cachés dans une grotte aux alentours du XIe siècle, ces manuscrits, principalement des textes religieux bouddhiques ont été miraculeusement préservés grâce au climat très aride. L’étude scientifique détaillée de la carte réalisée par les chercheurs a permis de conclure que l’atlas qui contient plus de 1300 étoiles a été composé dans les années +(649-684).  Utilisant des méthodes de projections mathématiques précises, il conserve une précision de 1,5 à 4° pour les étoiles les plus brillantes. C’est la plus ancienne carte d’étoiles connue toutes civilisations confondues et la première représentation graphique de l’ensemble des constellations chinoises.

L'atlas est presenté dans le numéro du  11 Juin de la revue Nature et l'étude historique et scientifique est publiée dans le  Journal of Astronomical History and Heritage. La carte est actuellement exceptionnellement exposée à la British Library jusqu'au 18 Août 2009, à l'occasion de l'Année Mondiale de l'Astronomie.


23/06/2009
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halte au génocide !

Mythes Et Réalité Autour Du Soja

Translation by Taty Lauwers

Mythe : Le soja est utilisé depuis de nombreux millénaires.
Réalité : Le soja a été utilisé pour la première fois au temps de la dynastie Chou (1134-246 A.JC.), après que les chinois ont appris à faire fermenter les graines de soja pour produire des aliments comme le tempeh, le natto, le tamari.

Mythe : Les asiatiques consomment de grandes quantités de soja.
Réalité : La consommation moyenne de soja en Chine est de 10 grammes (environ 2 cuillers à soupe) par jour et par personne ; dans certaines zones du Japon ce chiffre s’élève jusqu’à 60 grammes. Les asiatiques consomment le soja en petite quantité, comme condiment et non pas comme remplacement des protéines animales.

Mythe : Les aliments à base de soja sont porteurs des mêmes bénéfices de santé que les produits de soja traditionnellement fermentés.
Réalité : Les aliments modernes à base de soja ne sont pas fermentés, ce qui permettrait de neutraliser les toxines présentes dans les graines. Leur mode de fabrication dénature les protéines et augmente le taux de carcinogènes.

Mythe : Les aliments à base de soja sont une source de protéines complètes.
Réalité : Comme toutes les légumineuses, les aliments à base de soja sont déficients en acides aminés soufrés : la méthionine et la cystéine. De plus, les traitements modernes dénaturent la lysine, acide aminé fragile.

Mythe : Les aliments à base de soja fermentés sont une source de vitamine B12 indispensable aux régimes végétariens
Réalité : La substance assimilable à la vitamine B12 (l’analogue) dans le soja ne peut pas être utilisée à bon escient par le corps humain ; en réalité, la co.nsommation de soja augmente les besoins du corps en vitamine B12.

Mythe : Les laits maternisés à base de soja sont sûrs pour les nourrissons.
Réalité : Le soja contient des inhibiteurs de trypsine qui entravent la bonne digestion des protéines et fatiguent le pancréas. Dans les tests sur animaux, les régimes à haute teneur en inhibiteurs de trypsine a provoqué des fragilités du pancréas et des défauts de croissance. La consommation de soja augmente les besoins physiologiques en vitamine D, qui est nécessaire pour la santé des os et la croissance. L’acide phytique du soja réduit la biodisponibilité du fer et du zinc, utiles à la santé du cerveau et du système nerveux. On soupçonne les mégadoses de phyto-oestrogènes qui sont fournies aux nourrissons par l’intermédiaire des laits de soja d’être responsables du développement sexuel de plus en plus précoce des jeunes filles aux Etats-Unis et du développement sexuel retardé des garçons.

Mythe : Les aliments à base de soja peuvent prévenir l’ostéoporose.
Réalité : Le soja peut provoquer des déficiences en calcium et en vitamine D, tous deux garants de la solidité des os. En Asie, l’ostéoporose est prévenue par l’habitude ancestrale de consommer des bouillons maison (calcium), des produits de la mer, du lard et des abats (vitamine D).

Mythe : Le soja « moderne » peut protéger de plusieurs types de cancer.
Réalité :Un rapport commandé par le gouvernement britannique a conclu que peu de preuves étaient disponibles pour démontrer que le soja protégait contre le cancer du sein ou toute autre forme de cancer. En réalité, le soja peut entraîner un plus haut risque de cancer.

Mythe : Les phyto-oestrogènes présents dans le soja peuvent améliorer l’agilité mentale.
Réalité : Une étude récente a démontré que les femmes dont le sang était le plus chargé en oestrogènes témoignaient du plus bas niveau de fonctions cognitives ; chez les japonais américanisés, la consommation de tofu en milieu de vie est associée à l’apparition de la maladie d’Alzheimer plus tard.

Mythe : Les oestrogènes du soja (isoflavones) sont bonnes pour la santé.
Réalité : Les isoflavones du soja bloquent les voies phyto-endocrines. A des niveaux tels qu’on peut les consommer quotidiennement, ils peuvent empêcher l’ovulation et stimuler la croissance de cellules cancéreuses. On associe des doses aussi minimes que 4 cuillers de soja par jour à de l’hypothyroïdisme (symptômes de léthargie, constipation, prise de poids et fatigue).

Mythe : Le soja protège des maladies cardio-vasculaires.
Réalité : Chez certaines personnes, la consommation d’aliments à base de soja réduit le taux de cholestérol, mais il n’y a aucune preuve qu’un taux bas de cholestérol réduit le risque cardio-vasculaire.

Mythe : Le soja est un aliment sûr et peut aider les femmes après la ménopause.
Réalité : Le soja peut stimuler la croissance de tumeurs œstrogène-dépendantes et provoquer des troubles de la thyroïde. Une fonction thyroïdienne diminuée est associée avec les troubles de la ménopause.

Mythe : Les isoflavones de soja et les isolats de protéine de soja ont reçu le statut officiel GRAS aux Etats-Unis (Generally Recongnized As Safe)
Réalité : La société ADM (Archer Daniels Midland) a récemment retiré sa demande à la FDA (Food & Drug Administration, ministère ad hoc aux Etats-Unis) de reconnaître le statut GRAS aux isoflavones de soja, après que des protestations ont été émises en grand nombre par la communauté scientifique. La FDA n’a jamais octroyé le statut « GRAS » pour les isolats de protéines de soja à cause de l’éventuelle présence de toxines et de carcinogènes dans ce soja manufacturé.

Mythe : Le soja vous rendra une vie sexuelle joyeuse.
Réalité : De nombreuses études sur les animaux ont démontré que les aliments à base de soja provoquent la stérilité. La consommation de soja stimule la croissance pileuse chez les hommes d’âge moyen, ce qui indiquerait des taux de testostérone diminués. Les moines bouddhistes consommaient du tofu pour éteindre leur libido.

Mythe : La culture des graines de soja est saine pour l’environnement.
Réalité : La plupart des graines de soja cultivées aux Etats-Unis sont modifiées génétiquement pour permettre aux exploitants d’utiliser de fortes doses de pesticides.

Mythe : La culture des graines de soja est bénéfique aux pays en voie de développement.
Réalité : Dans les pays du tiers-monde, le soja remplace les cultures traditionnelles et prive la population locale de la valeur ajoutée que peut apporter la transformation d’un aliment pour la transférer dans les mains de corporations multinationales.

© 1999 Weston A. Price Foundation. All Rights Reserved.


18/06/2009
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Jusqu'à 14 000 litres d'eau pour produire un litre de biodiesel !

Les chercheurs et acteurs industriels poursuivent leurs recherches sur la découverte de sources d'énergie alternatives, et notamment sur le moyen de remplacer le pétrole par des biocombustibles. Ils portent désormais une grande attention à l'empreinte sur l'eau, c'est-à-dire le volume d'eau utilisé par une personne ou un pays pour produire des biens et des services propres à la consommation. 

De nouvelles études réalisées dans les Pays-Bas évaluent l'empreinte sur
l'eau de la bioénergie, à savoir la quantité d'eau nécessaire pour cultiver des plantes à des fins de production de biomasse. Les résultats de l'étude sont publiés dans la publication anticipée des Proceedings of the National Academy of Sciences (PNAS Early Edition).

Deux études antérieures ont permis d'évaluer l'empreinte sur l'eau des produits alimentaires et fibreux ainsi que celle de la chaleur produite par la biomasse. Les chercheurs de
l'université de Twente aux Pays-Bas ont tenté de fournir une vision mondiale de l'empreinte sur l'eau par unité de bioénergie (par exemple, par unité d'électricité, de bioéthanol et de chaleur).

Selon les chercheurs, l'empreinte sur l'eau de la bioénergie est considérablement plus élevée que celles des autres formes d'énergie ; cependant, plus du double de la quantité d'eau est sauvegardée dans le processus de production de bioélectricité en comparaison de celui des biocombustibles.

«L'empreinte sur l'eau de la bioélectricité est inférieure à celle des
biocombustibles car il est plus courant d'utiliser la totalité de la biomasse (pour la génération d'électricité ou de chaleur) qu'une fraction de la culture (son sucre, son amidon ou sa teneur en hydrocarbure) pour les biocombustibles», explique l'étude.

L'équipe a réussi à déterminer l'empreinte sur l'eau de 13 cultures, à savoir l'orge, le manioc, le maïs, les pommes de terre, le colza, le riz, le seigle, le sorgo, le soja, la betterave à sucre, la canne à sucre et le froment ainsi que le Jatropha, une plante adéquate pour l'énergie. Ces plantes contribuent à 80% de la production agricole mondiale totale.

Cette étude a indiqué que pour la production de bioélectricité, les plantes les plus adéquates sont le maïs, la betterave à sucre et la canne à sucre ; les moins appropriées sont le colza et le Jatropha.

Pour le bioéthanol, la betterave et les pommes de terre sont les plus appropriées et la canne à sucre arrive en troisième position. Il suffit de 1400 litres d'eau pour fabriquer un litre de bioéthanol à partir de la betterave à sucre, expliquent les chercheurs. La plante la moins avantageuse est le sorgo. 

Pour le biodiesel, les meilleures cultures sont celles de soja et de colza, et le Jatropha se trouve en dernière position. Les chercheurs expliquent qu'il faut environ 14000 litres d'eau pour produire un litre de biodiesel à partir du soja ou du colza, en comparaison de 20000 litres d'eau en moyenne pour un litre de biodiesel à partir du Jatropha.

Au total, quatre catégories de biomasse ont été traitées dans cette étude : les cultures d'amidon et les tubercules ;  les cultures sucrières ; les oléagineux et les arbres. Les chercheurs ont montré comment la culture de plantes affectait la consommation de l'eau. D'après eux, choisir le site le plus approprié à chaque culture est possible lorsque la consommation en eau est reliée aux données sur le climat et le lieu. On peut ainsi contrôler la culture de biomasse. La production alimentaire dans les régions ou l'eau est rare est mieux protégée, expliquent les chercheurs.

«Si la transition vers une plus grande contribution de la bioénergie à l'approvisionnement énergétique se produit, les résultats de cette étude pourraient être utilisés en vue de sélectionner les cultures et les pays produisant de la bioénergie de la manière la plus efficace», écrivent les auteurs.

Développée par le co-auteur, le professeur Arjen Hoekstra du département universitaire de l'ingénierie et la gestion des eaux, l'empreinte de l'eau pourrait servir à déterminer la manière dont les citoyens doivent utiliser les réserves limitées d'eau dans le monde entier.

«Dans les années à venir, l'humanité devra faire face à de nombreux défis, non seulement pour satisfaire ses propres besoins en eau, mais également pour s'assurer que l'extraction de l'eau des rivières, des courants, des fleuves et des lacs ainsi que des nappes phréatiques [une nappe aquifère souterraine qui alimente les puits et les sources en eau] n'affecte pas les écosystèmes de l'eau ayant des fonctions écologiques», soulignent les chercheurs.

Ils nous préviennent que «d'ici 2050, la population mondiale atteindra 9,2 milliards d'habitants selon l'ONU ; aussi avons-nous des raisons de nous inquiéter de la manière dont les besoins en aliments et en fibre des générations futures seront assurés dans les régions où l'eau est une denrée rare.»


10/06/2009
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Les grippes : leurs liens étroits avec l’industrie pharmaceutique…

et avec la politique,

Notre lecteur, Alain Delmas, nous a envoyé ce billet d’humeur dont nous reprenons bien volontiers l’essentiel. Rentrons dans le vif du sujet :

« Selon eux, les St Bernard de la planète, le Tamiflu est cet antiviral à prendre en cas de grippe. Au fait, vérifiez avant de vous précipiter dessus, les effets probables de ce médicament. Ça fait froid dans le dos, ça peut même vous donner de gros frissons, signes peut-être d’un début de grippe ou d’une aggravation… Bon, ma copine pharmacienne m’a rassuré : c’est devenu un réflexe, chaque laboratoire pharmaceutique se fend d’une interminable liste de contre-indications et, comme ça, si d’aventure vous mourrez, vos ayant droits n’auront aucun recours…

Curieux de nature, un gros défaut avouons-le, je me suis posé la question : qui est derrière ce Tamiflu ? Internet, puissance tutélaire m’a donné, via les moteurs de recherche qui pullulent, certains disent que ce sont de vraies… pestes, eux justement, les maîtres du monde, inquiets des effets collatéraux de leur invention… Des éléments de réponse n’ont pas tardé à imposer un nom, celui de Donald Rumsfeld. Détails.

En 1996, le brevet d'un antiviral inhibiteur de certaines formes de grippe, le Tamiflu justement, est cédé par le président et principal actionnaire de la firme « Gilead Sciences inc », Donald Rumsfeld en personne, aux Laboratoires Roche, moyennant beaucoup de sous et de futures royalties sur les ventes à venir de l'antiviral.

Euh, bien sûr, pour que le Tamiflu se vende bien et plus que bien, il faut des grippes. Rassurons-nous, elles arrivent. En 2005-2006, premières alertes mondiales sur une grippe, la grippe aviaire.

Toujours Secrétaire de la Défense des USA sous la Présidence Georges W Busch et toujours principal actionnaire de « Gilead Sciences inc », Donald Rumsfeld est aux premières loges. En tant que responsable politique, il fait acheter du Tamiflu en masse. Les royalties pleuvent. Plein d'autres pays avec des sous achètent : au prix fort. Les pays sans l’sous, on s'en fout car en cas de réelles pandémies celui qui est avec des sous n’a pas d’autre choix que de prendre en charge celui qui est sans l’sous. Comment faire autrement si l’on veut éviter la pandémie, n’est-ce pas ! Question subsidiaire qu’on peut néanmoins se poser : veut-on vraiment éviter la pandémie car sans pandémie, pas ou moins de sous…

En 2006, tiens, coup de bol, la grippe aviaire devient une menace planétaire.... Simple coïncidence ? C’est ce que nous voulons croire. Gouverner c’est prévoir. Peut-on prévoir une grippe ? C’est vrai, il y en a chaque année, la marge d’erreur est donc faible.

Des milliards de dollars de ventes de Tamiflu sont ainsi réalisées et des stocks mondiaux constitués par les Etats qui ont les finances suffisantes et qui peuvent ainsi rassurer leurs concitoyens : on s’occupe de tout, on s’occupe de vous ! Le retour sur investissement est considérable.

Nombre de victimes de cette présumée pandémie : à ce jour, environ 150 personnes... Pas plus que d'habitude dans ces pays ou les conditions d'hygiène et la proximité de vie avec les animaux sont les principales raisons de ces transmissions et de ces décès. La vie ne vaut rien mais rien ne vaut la vie, les paroles d’Alain Souchon résonnent dans ma tête. La vie a un prix tout de même !

Rappelons au passage que, d’après l’OMS, la grippe basique, banale, est à l'origine d'environ 300 000 à 500 000 décès dans le monde chaque année, des morts que l'on pourrait requalifier en cochant la case grippe, celle la plus appropriée aux affaires du moment. En ce moment, on est en plein dedans, n’hésitons pas et… cochons « grippe porcine » dans la colonne.

Début 2009, dommage ! Il existe une date de péremption sur les boites de Tamiflu : maximum 5 ans. Et oui, on y arrive, 2009 moins 2006 = 4 ans. À la fin de l’année, tous les stocks seront périmés.

Avril 2009 : chouette, une grippe porcine... Ouf ! Et quelle chance, on a du Tamiflu plein les armoires à pharmacie. On consomme avant la date limite et puis on repassera des commandes.

J'arrête là, on va dire encore que je suis complètement parano... et pourtant ! ».

Alain Delmas


03/06/2009
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réaction

Bon... alors... on en est où aujourd'hui ?

Des années que je fais du copié-collé sans vraiment m'exprimer de mes propres émotions. A ce jour, j'assiste en temps que spectatrice passive à la destruction du monde. Je n'en peux plus de me taire... d'assister à tout ce mima que les différents systèmes imposent aux humains. Ecœurant cette soumission à des lois, des dogmes. Ils critiquent les sectes... ils en sont une... bien plus importante que toute les autres. Ah... les dirigeants... qu'importe leur bord... ils règnent tels des dictats sur des peuples abrutis par des siècles d'oppression et de tyrannie.

L'humain... drôle de poisson !

Il ne sait pas ce qu'est la liberté, il est sourd, aveugle et muet... amnésique de plus !

Il est bête et c'est pour ça que ça marche !

Rien de plus facile que d'avoir à faire à un peuple bête.

Quel monde indigne de lui-même ne sachant même plus reconnaitre le beau du laid. Il  pleure l'homme face à lui-même et bien qu'il pleure encore plus, cela peut-être le nettoiera !

 


27/05/2009
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