Le vraquier « Gulser Ana » se trouvait parmi les 66 navires-poubelles inscrits dans la liste noire des bateaux jugés dangereux au sein de l’Union Européenne, depuis 2002
Le « Gulser Ana », battant pavillon turc, a fait naufrage au large du village de Faux Cap, le 26 août dernier. Ce vraquier transportait 39.000 tonnes de phosphate brut, 568 tonnes de carburant, 66 tonnes de fuel et 8000 litres de lubrifiant. Peu après le naufrage, ces produits se sont déversés dans l’Océan Indien.
Plus de 20 000 personnes, sur les 40 000 que compte la région, ont été affectées par les conséquences du naufrage. L’étude a notamment mis en exergue les effets de l’interdiction de la pêche, pour une période de trois mois, sur la subsistance des familles. La pêche constitue en effet la seule source de revenu pour 25 à 40 pour cent d’entre elles.
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texte traduit avec Google traduction:
Je viens de trouver un site:
Au fait... certains prévoient la fermeture des banques américaines pour septembre.
Je vous laisse imaginer la suite !
Un autre site:
C'est quoi ce nouvel ordre mondial ?
53 % des dirigeants français ne mettraient pas en place des pratiques favorables
à l’environnement si elles avaient des effets négatifs sur le résultat de leur entreprise
Une étude de Grant Thornton, groupe leader d’audit et de conseil en France et dans le monde, menée par Experian Business Strategies Ltd. auprès d’un panel de 7 200 entreprises privées – à travers 36 pays qui représentent 81 % du PIB mondial – montre que plus d’un dirigeant français sur deux (53 %) ne mettrait pas en place des pratiques favorables à l’environnement si elles avaient des effets négatifs sur le résultat de leur entreprise.
L’étude pointe d'énormes disparités entre pays. En effet, elle montre que 43 % des dirigeants européens et 36 % des chefs d’entreprises au niveau mondial ne désirent pas initier une politique "verte" dans la mesure où elle aurait une incidence sur leurs profits. Dans le détail, ils sont 61 % de dirigeants danois,49 % d’anglais et 43 % d’allemands à ne pas penser mettre en place des mesures de développement durable si elles avaient un coût contre seulement 26 % des chefs d’entreprises suédois et 20 % des grecs.
Robin Edme, Associé de Grant Thornton Ecodurable®, explique : « Ces résultats sont à relativiser, au moins pour l’Europe, dans la mesure où les obligations environnementales sont déjà très fortes et que le contrôle des impacts environnementaux est très encadré. Les politiques "vertes" des entreprises françaises et européennes sont déjà anciennes. En revanche, ces résultats montrent bien que toute politique de développement durable, pour être intégrée au cœur de la stratégie, doit faire la preuve de son impact sur la performance économique et financière de l’entreprise ».
Outre-Atlantique, ce sont 46 % des chefs d’entreprises américains qui seraient prêt à initier des actions pour lutter contre le réchauffement climatique, 43 % des dirigeants brésiliens, 55 % des canadiens et 60 % des mexicains.
Autre enseignement dispensé par l'enquête : la proportion de chefs d’entreprises français pensant que les milieux d’affaires sont favorables à la protection de l’environnement est 2 moins élevée que la moyenne mondiale. Ils sont ainsi 41 % en France, contre 46 % au niveau européen et 49 % au niveau mondial.
Dans les pays du nord de l’Europe, en revanche, la green attitude est plus ancrée, même si certains contrastes apparaissent. Pour preuve, 69 % des dirigeants danois, 63 % des finlandais, 61 % des allemands et 60 % des suédois pensent que les milieux d’affaires sont favorables à la protection de l’environnement, contre seulement 20 % des belges et 40 % des anglais. A contrario, Seuls 16 % des chefs d’entreprises grecs, 18 % des turcs et 28 % des chinois, à égalité avec les russes, considèrent la protection de l’environnement comme un objectif prioritaire.
Robin Edme de poursuivre : « Là encore, une lecture circonstanciée des résultats s’impose et met en exergue le fait qu’il est aujourd’hui nécessaire de passer d’une approche passive des enjeux environnementaux, c'est-à-dire se prémunir contre un risque, à une approche plus active, autrement dit les considérer comme des opportunités pour l’entreprise, en termes de réduction de coûts, de gains de productivité et de captation de nouveaux marchés ».
Un document spectaculaire de l’histoire de l’astronomie vient d’être remis en lumière par l’étude d’un groupe de chercheurs conduit par Jean-Marc Bonnet-Bidaud du Service d’Astrophysique du CEA-Irfu [1].
Le document, désigné sous le nom de carte de Dunhuang et conservé à la British Library de Londres, est un atlas céleste complet découvert en 1900 parmi 40 000 manuscripts précieux entreposés dans les Caves de Mogao, un monastère bouddhique sur la Route de la Soie chinoise. Cachés dans une grotte aux alentours du XIe siècle, ces manuscrits, principalement des textes religieux bouddhiques ont été miraculeusement préservés grâce au climat très aride. L’étude scientifique détaillée de la carte réalisée par les chercheurs a permis de conclure que l’atlas qui contient plus de 1300 étoiles a été composé dans les années +(649-684). Utilisant des méthodes de projections mathématiques précises, il conserve une précision de 1,5 à 4° pour les étoiles les plus brillantes. C’est la plus ancienne carte d’étoiles connue toutes civilisations confondues et la première représentation graphique de l’ensemble des constellations chinoises.
L'atlas est presenté dans le numéro du 11 Juin de la revue Nature et l'étude historique et scientifique est publiée dans le Journal of Astronomical History and Heritage. La carte est actuellement exceptionnellement exposée à la British Library jusqu'au 18 Août 2009, à l'occasion de l'Année Mondiale de l'Astronomie.
Les chercheurs et acteurs industriels poursuivent leurs recherches sur la découverte de sources d'énergie alternatives, et notamment sur le moyen de remplacer le pétrole par des biocombustibles. Ils portent désormais une grande attention à l'empreinte sur l'eau, c'est-à-dire le volume d'eau utilisé par une personne ou un pays pour produire des biens et des services propres à la consommation.
De nouvelles études réalisées dans les Pays-Bas évaluent l'empreinte sur l'eau de la bioénergie, à savoir la quantité d'eau nécessaire pour cultiver des plantes à des fins de production de biomasse. Les résultats de l'étude sont publiés dans la publication anticipée des Proceedings of the National Academy of Sciences (PNAS Early Edition).
Deux études antérieures ont permis d'évaluer l'empreinte sur l'eau des produits alimentaires et fibreux ainsi que celle de la chaleur produite par la biomasse. Les chercheurs de l'université de Twente aux Pays-Bas ont tenté de fournir une vision mondiale de l'empreinte sur l'eau par unité de bioénergie (par exemple, par unité d'électricité, de bioéthanol et de chaleur).
Selon les chercheurs, l'empreinte sur l'eau de la bioénergie est considérablement plus élevée que celles des autres formes d'énergie ; cependant, plus du double de la quantité d'eau est sauvegardée dans le processus de production de bioélectricité en comparaison de celui des biocombustibles.
«L'empreinte sur l'eau de la bioélectricité est inférieure à celle des biocombustibles car il est plus courant d'utiliser la totalité de la biomasse (pour la génération d'électricité ou de chaleur) qu'une fraction de la culture (son sucre, son amidon ou sa teneur en hydrocarbure) pour les biocombustibles», explique l'étude.
L'équipe a réussi à déterminer l'empreinte sur l'eau de 13 cultures, à savoir l'orge, le manioc, le maïs, les pommes de terre, le colza, le riz, le seigle, le sorgo, le soja, la betterave à sucre, la canne à sucre et le froment ainsi que le Jatropha, une plante adéquate pour l'énergie. Ces plantes contribuent à 80% de la production agricole mondiale totale.
Cette étude a indiqué que pour la production de bioélectricité, les plantes les plus adéquates sont le maïs, la betterave à sucre et la canne à sucre ; les moins appropriées sont le colza et le Jatropha.
Pour le bioéthanol, la betterave et les pommes de terre sont les plus appropriées et la canne à sucre arrive en troisième position. Il suffit de 1400 litres d'eau pour fabriquer un litre de bioéthanol à partir de la betterave à sucre, expliquent les chercheurs. La plante la moins avantageuse est le sorgo.
Pour le biodiesel, les meilleures cultures sont celles de soja et de colza, et le Jatropha se trouve en dernière position. Les chercheurs expliquent qu'il faut environ 14000 litres d'eau pour produire un litre de biodiesel à partir du soja ou du colza, en comparaison de 20000 litres d'eau en moyenne pour un litre de biodiesel à partir du Jatropha.
Au total, quatre catégories de biomasse ont été traitées dans cette étude : les cultures d'amidon et les tubercules ; les cultures sucrières ; les oléagineux et les arbres. Les chercheurs ont montré comment la culture de plantes affectait la consommation de l'eau. D'après eux, choisir le site le plus approprié à chaque culture est possible lorsque la consommation en eau est reliée aux données sur le climat et le lieu. On peut ainsi contrôler la culture de biomasse. La production alimentaire dans les régions ou l'eau est rare est mieux protégée, expliquent les chercheurs.
«Si la transition vers une plus grande contribution de la bioénergie à l'approvisionnement énergétique se produit, les résultats de cette étude pourraient être utilisés en vue de sélectionner les cultures et les pays produisant de la bioénergie de la manière la plus efficace», écrivent les auteurs.
Développée par le co-auteur, le professeur Arjen Hoekstra du département universitaire de l'ingénierie et la gestion des eaux, l'empreinte de l'eau pourrait servir à déterminer la manière dont les citoyens doivent utiliser les réserves limitées d'eau dans le monde entier.
«Dans les années à venir, l'humanité devra faire face à de nombreux défis, non seulement pour satisfaire ses propres besoins en eau, mais également pour s'assurer que l'extraction de l'eau des rivières, des courants, des fleuves et des lacs ainsi que des nappes phréatiques [une nappe aquifère souterraine qui alimente les puits et les sources en eau] n'affecte pas les écosystèmes de l'eau ayant des fonctions écologiques», soulignent les chercheurs.
Ils nous préviennent que «d'ici 2050, la population mondiale atteindra 9,2 milliards d'habitants selon l'ONU ; aussi avons-nous des raisons de nous inquiéter de la manière dont les besoins en aliments et en fibre des générations futures seront assurés dans les régions où l'eau est une denrée rare.»
Bon... alors... on en est où aujourd'hui ?
Des années que je fais du copié-collé sans vraiment m'exprimer de mes propres émotions. A ce jour, j'assiste en temps que spectatrice passive à la destruction du monde. Je n'en peux plus de me taire... d'assister à tout ce mima que les différents systèmes imposent aux humains. Ecœurant cette soumission à des lois, des dogmes. Ils critiquent les sectes... ils en sont une... bien plus importante que toute les autres. Ah... les dirigeants... qu'importe leur bord... ils règnent tels des dictats sur des peuples abrutis par des siècles d'oppression et de tyrannie.
L'humain... drôle de poisson !
Il ne sait pas ce qu'est la liberté, il est sourd, aveugle et muet... amnésique de plus !
Il est bête et c'est pour ça que ça marche !
Rien de plus facile que d'avoir à faire à un peuple bête.
Quel monde indigne de lui-même ne sachant même plus reconnaitre le beau du laid. Il pleure l'homme face à lui-même et bien qu'il pleure encore plus, cela peut-être le nettoiera !
Le bonheur des gens dépendrait du bonheur de ceux qui les entourent. C'est la conclusion des recherches menées pendant plus de vingt ans par deux scientifiques américains, dont l'étude est publiée, vendredi 5 décembre, par le British Medical Journal
La physique moderne a prouvé que la matière telle que nous la connaissons n'existe pas, qu'elle n'est en réalité, comme le disait Einstein, qu'une forme condensée de l'énergie et que cette énergie, en perpétuelle vibration, ne serait que de la lumière condensée. Nous vivons ainsi dans un monde composé de vibrations et non de matière au sens rationnel du terme, et nous-mêmes sommes un ensemble de vibrations. Ce nouveau concept rejoint les enseignements de la tradition orientale qui distingue différents corps humains se superposant et s’interpénétrant, chacun d’entre eux étant plus fin et plus impalpable que le précédent et porteur de vibrations de plus en plus élevées. D’après ces théories, le corps physique serait la partie la plus dense d’autres corps qui nous appartiennent aussi, mais sans que nous en ayons conscience car ils sont invisibles. Ces corps seraient composés de particules vibrant à des taux de plus en plus élevés à mesure qu’elles s’éloignent de la matière. C’est la lenteur de ses vibrations qui rend notre corps visible.
Ainsi, les phénomènes biologiques ne se limitent pas à des échanges chimiques ; ils participent d’une homéostasie vibratoire en perpétuelle évolution. Lorsque notre taux vibratoire diminue, notre organisme court le risque d’entrer en accord de résonance avec des microbes ou des virus qui resteraient inoffensifs si nos vibrations demeuraient plus élevées. Chacun peut accroître son niveau vibratoire en essayant d’agir sur son niveau de conscience.
Si tu veux en lire +, va voir : http://www.planetpositive.org/v3/index.php?option=com_content&task=view&id=5172&Itemid=2
Leur réponse est que "les variations dans le niveau de bonheur d'un individu peuvent se propager par vagues à travers des groupes sociaux et générer une large structure au sein même d'un réseau, créant ainsi des groupes de gens heureux ou malheureux", la proximité géographique important aussi bien que la proximité sociale. Par exemple, la probabilité qu'une personne soit heureuse augmente de 42 % si un ami qui vit à moins de 800 mètres le devient lui-même. Ce chiffre passe à 25 % si l'ami vit à moins de 1,5 km, et il continue de décliner à mesure que l'éloignement croît. Et le bonheur d'un individu peut "irradier" jusqu'à trois degrés de séparation, c'est-à-dire que l'on peut rendre heureux, l'ami de l'ami d'un ami.
"Les gens qui sont entourés par beaucoup de gens heureux (...) ont plus de chance d'être heureux dans le futur. Les statistiques montrent que ces groupes heureux sont bien le résultat de la contagion du bonheur et non seulement d'une tendance de ces individus à se rapprocher d'individus similaires," précisent les chercheurs. Les chances de bonheur augmentent de 8 % en cas de cohabitation avec un conjoint heureux, de 14 % si un proche parent heureux vit dans le voisinage, et même de 34 % en cas de voisins joyeux. Ces recherches "sont une raison supplémentaire de concevoir le bonheur, comme la santé, comme un phénomène collectif" expliquent-ils.
le son fait vibrer tout le squelette,
le son fait résonner toutes les cavités osseuses,
organiques et musculaires du corps,
le son façonne, ébranle et réajuste toute l’architecture du corps,
le son pénètre dans le corps par la peau,
le son embrasse les chairs,
le son électrise les nerfs du corps.
Le son touche l’émotionnel:
le son transporte, affecte, émeut et relie,
le son produit rêves, sensations et désirs
par sa tonalité, sa mélodie et sa texture,
le son crée le ressenti et suscite l’empathie,
le son est énergie.
Le son touche l’intellect:
le son informe, communique, transmet
un message, une intelligence,
le son projette une vision,
le son supporte une action par la nature
et l’impact de ses rythmes.
Le son touche le coeur et l’esprit:
le son transforme en se transformant,
le son révèle ou appelle
une présence énergétique,
le son résonne, harmonise, mélange,
modifie et s’adapte,
le son soigne, équilibre, trouble et élève.
Le son touche la conscience:
le son révèle créateur, création et créature,
le son est tout,
le son révèle l’être, le son relie à l’être,
le son révèle le silence, le son révèle le non-exprimé, le son révèle le non-dit,
le son révèle la projection de la pensée,
le son révèle l’intention,
le son révèle sa qualité, ses origines, ses intentions par sa richesse harmonique,
la résonance du son révèle notre conscience harmonique,
notre capacité à nous relier,
le son nous révèle le plus grand que soi,
le son nous relie au plus grand que soi,
le son révèle contexte, présence et conscience,
le son relie en nous l’écoute, la résonance, l’instrument et l’intention par la magie des états harmoniques de conscience.
...au début il y avait le verbe, et le verbe volait au-dessus des flots...
...au début il y avait le son, le big bang par lequel tout a commencé,
et recommencera...
Source: http://www.resonant-worlds.com/resonant_worlds_fr.html
Prenez conscience que tout vient de vous. Personne peut être heureux à votre place !
Notre histoire...
quelle histoire ?
Qu'un réalisateur de science-fiction s'en mèle.. C’est du pur délire ce que je viens de lire !
Le titre:
Les sociétés secrètes... sur l'instant et vu la taille du texte, j'ai faillit zapper, des heures de lecture en vue, bof, ce n’était pas vraiment le programme que je mettais fixé aujourd'hui mais quand même, les deux, trois phrases que je venais de parcourir m'ont donné envie d'en savoir plus. Et là, je suis entré dans un univers complètement dingue en me demandant à la fin si tout ça tenait la route !
Je me dis que tout ça... en film... ce serait le meilleur scénario qu'on puisse imaginer.
À bon entendeur
Salut !
Sabine
C'est la première fois que dans l'histoire de l'homme on poursuit en justice une religion d'une manière aussi directe et concrète lors d'un procès qui se conclura avec une sentence concernant des délits bien spécifiques et définis, comme l'abus de la crédulité populaire (art. 661 C.P.) et la substitution de personne (494 C.P.).
La sentence qui, grâce aux preuves irréfutables apportées par l'accusation, se prononcera certainement avec une condamnation contre les ministres de l'Église catholique en tant que « divulgateurs de faits faux fait passer pour des vrais », en mettant au ban leurs enseignements, déterminera, comme cela a été dit par de nombreuses personnes qui ont déjà lu « La fable de Christ », le début de l'ère post-chrétienne dont toutes les personnes de bonne volonté sollicitaient l'avènement.
Toutes les discussions concernant l'existence de Jésus qui, à cause du manque d'argumentations valables, s'étaient prolongées pendant des siècles en des diatribes sans résultat entre croyants et opposants afin d'établir si en tant que Dieu il était un mythe ou une réalité et en tant qu'homme s'il était blond ou brun, marié ou célibataire, beau ou laid, ont été toutes balayées par le livre « la fable de Christ » avec ses preuves irréfutables de sa non-existence.
La Fable du Christ en réalité n'est rien d'autre que le dossier contenant les arguments nécessaires pour instruire un procès pénal contre l'Église Catholique en les personnes de ses ministres, c'est un recueil sérieux de preuves juridiques démontrant que la figure de Jésus n'est rien d'autre que le résultat de manipulations et de falsifications de documents qui en réalité se référaient à un certain Jean de Gamala, fils de Judas et petit-fils de Ezéchias à son tour descendant direct de la lignée des Asmonéens fondée par Simon, fils de Mattathias le Maccabée.
Pour arriver à cette conclusion, afin qu'il ne puisse y avoir aucun doute sur ses conclusions, l'auteur a effectué une exégèse rationnelle et pratique pas seulement sur les Livres Saints mais aussi sur toute une documentation concernant les religions païennes et leurs Cultes des Mystères dont le Christianisme résulte être une parfaite reproduction.
Quoique ce livre puisse être dédaigné et condamné par quiconque a fait du mensonge la base de sa propre morale, les vérités qui se trouvent dans celui-ci ne pourront jamais plus être annulées et effacées par l'histoire puisque désormais elles ont été révélées et divulguées par le moyen des exemplaires déjà distribués.
La divulgation du livre, et ceci est un défi que l'auteur lance à ses ennemis, parmi lesquels il considère comme les pires les sots les hypocrites et les indifférents, même si elle a une grande importance, n'est tout de même pas déterminante pour le but qu'il s'est préfixé d'atteindre, car dans la réalité des faits un seul livre aurait suffit pour détruire l'imposture sur laquelle se base le Christianisme, c'est-à-dire celui qui constitue le dossier qui sera présenté au tribunal.
Si jusqu'à maintenant le fait de divulguer une religion basée sur Christ, la Vierge Marie, saint Joseph, les apôtres Pierre et Paul etc. avait été permis par la loi car considéré un réconfort afin de pouvoir soutenir la partie humaine irrationnelle qui a besoin d'illusions pour faire face aux propres déficiences, comme se confier à la magie et aux horoscopes, ce ne sera plus possible le faire car bientôt, très bientôt, ce sera considéré un délit d'après les articles 661 et 494 du Code Pénal. De preuves pour pouvoir soutenir un procès il y en a tant qu'on veut, même trop et la dénonciation basée sur celles-ci ( reportée à la fin du livre) est prête … donc, c'est seulement une question de temps !
Liens : http://www.bible.chez-alice.fr/
http://www.rationalisme.org/french/cascioli_livre.htm
http://www.luigicascioli.it/altreprove2_fra.php
http://www.opadel.net/jesus-christ-imposture.html
http://www.fairelejour.org/article.php3?id_article=122
http://sekumaga.blogspot.com/2007/12/jesus-christ-personnage-imaginaire-et.html
http://secretebase.free.fr/civilisations/sumeriens/religions/religions.htm
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Aimez la vie, aimez votre vie.
Regardez autour de vous et aimez.
Cela suffit.
Sabine
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Les spécialistes cartographient le cancer afin de mieux le combattre.
Les spécialistes sont mobilisés. Et pour cause. Le cancer est devenu, pour la première fois en 2004, la premier facteur de mort en France, faisant passer de vie à trépas 150 000 personnes, soit 40 000 de plus qu’en 1970. Le nombre global de décès par cancer continue de croître. Paradoxalement, le risque d’en mourir diminue.
Cette évolution étonnante a fait l’objet d’études auprès de l’Inserm, du Centre d’épidémiologie sur les causes médicales de décès et de l’Institut national du cancer, qui ont publié leurs constatations dans l’Atlas de la mortalité par cancer en France métropolitaine. Les disparités géographiques et les évolutions des différents cancers y sont mis en évidence sur une période de 35 ans.
Le risque mortel a d’abord suivi une pente ascendante, de 1970 à 1990. Depuis, le risque de mourir d’une cancer baisse régulièrement, aussi bien pour les hommes que pour les femmes. Les progrès réalisés en matière de diagnostic précoce, de traitements et de prise en charge y jouent pour beaucoup.
Le risque connaît cependant des variations entre les deux sexes et pour le type de tumeur. Les hommes sont ainsi moins exposés qu’autrefois au risque de mourir d’un cancer du poumon, alors que cette menace plane davantage chez les femmes.
Les cas de mélanome opèrent depuis 2000 une baisse (alors que les cancers de la peau doublent tous les 10 ans depuis 1970), en particulier chez les hommes. Cette décrue étonne les spécialistes puisque les campagnes de prévention de soleil sont trop récentes pour avoir été traduits par des résultats concrets. Les cancers de l’estomac, quant à eux, n’entraînent plus aussi souvent la mort, et le pronostic vital a fortement varié d’une région à l’autre.
Les experts se sont fortement penchés sur les disparités entre les régions, la France offrant un tableau diversifié de la géographie du cancer. Le nord-ouest de l’hexagone est caractérisé par un taux de mortalité élevé entraîné par les tumeurs de l’appareil digestif, alors que le nord-est, lui, se distingue par un taux important de cancers de l’appareil respiratoire et de la vessie. Concernant un phénomène de migration des cancers, le Docteur Gilles Dixsaut, de l’institut national du cancer, se demande s’il n’y a pas là une relation de cause à effet entraînée par les mouvements de population, la paupérisation et les degrés d’accès aux soins. Les inégalités sociales sont criantes face au cancer. Martine Le Quellec-Nathan, directrice adjointe de l’institut, souhaite redoubler d’efforts dans les recherches. Les experts suivront de près les changements sur la carte, qui semblent liés aux mutations socio-économiques, afin d’esquisser des solutions d’ordre social et médical. Source: Institut nationnal du cancer
Le Pentateuque - Exode 32
[17] Josué entendit la voix du peuple, qui poussait des cris, et il dit à Moïse: Il y a un cri de guerre dans le camp. [18] Moïse répondit: Ce n'est ni un cri de vainqueurs, ni un cri de vaincus; ce que j'entends, c'est la voix de gens qui chantent. [19] Et, comme il approchait du camp, il vit le veau et les danses. La colère de Moïse s'enflamma; il jeta de ses mains les tables, et les brisa au pied de la montagne.
C'est le fameux Droit au Retour. Cela veut dire le Partage de la Palestine entre juifs et goyims alors que Dieu a donné la Palestine aux seuls Juifs (ben voyons !). Les néo-sionistes ne veulent pas de la Paix. Ils veulent la fin de la guerre par l'extermination ou la capitulation et l'exil des goyims. Les néo-sionistes veulent le départ des Goyims, notamment des Palestiniens, de la Palestine. Les néo-sionistes veulent que les biens des Goyims soient confisqués au profit des Juifs partisans de leur doctrine raciste. D'où l'assassinat de Rabbin, le seul dirigeant laîc (donc pas intoxiqué par les discours mythologiques) à avoir envisagé la paix.
L'étude critique du texte biblique confronté aux données actuelles de l'archéologie et de l'épigraphie du Proche-Orient mène à la conclusion que les Juifs ont adopté le dogme monothéiste – il ne peut exister qu'un Dieu – un millénaire seulement après Moïse, quand la Bible était déjà presque entièrement rédigée. Le prophète du Sinaï ne parle que d'une alliance entre l'un des dieux, nommé Iahvé, et l'un des peuples, celui des descendants de Jacob, dit Israël. Comment comprendre dès lors la révolution culturelle qu'a été le monothéisme, si celui-ci n'a fait l'objet d'aucune «Révélation»? L'explication est à chercher dans l'histoire des Juifs et, plus précisément, dans les traumatismes subis par leur peuple. Par ailleurs, si la Bible n'est pas un livre monothéiste, les trois religions du Dieu unique se trouvent sans fondement surnaturel écrit, ce qui ne manquera pas d'être ressenti comme une «blessure narcissique».
La nouvelle méthode va utiliser la violence et les tueries, mais sans prendre la forme d'un génocide « classique ». Les massacres et la terreur sont devenus une pratique bien planifiée et soigneusement orchestrée (9). S'intégrant à une guerre physique et psychologique totale, ils se sont répandus en 1948 à l'ensemble de la Palestine, démoralisant les Palestiniens, et ont abouti à l'effondrement de leur société. La violence et les massacres organisés n'ont pas pris une forme chaotique et sont restés sous le contrôle de ceux qui les organisaient. La violence chaotique et impulsive telle qu'elle s'est produite ailleurs n'a pas sa place dans les projets sionistes. Cet ordre et cette discipline, entre autres, indiquent qu'il y a une intelligence supérieure derrière le projet d'expulsion. Mais cette nouvelle méthode a réussi à susciter une purification ethnique semblable à celle que seul un génocide peut réaliser.¨
Laissons les simples faits parler d'eux-mêmes : 80 % des villages palestiniens qui sont tombés sous la coupe du nouvel État d'Israël ont été complètement détruits et leurs habitants ont été obligés de se réfugier de l'autre côté de la frontière ou dans d'autres parties de la Palestine historique. Ces villages représentaient 50 % de l'ensemble des villages de Palestine quand on se réfère aux frontières historiques au cours du mandat britannique. Tous ces villages ont été détruits, bien qu'ils n'aient subi aucune destruction notable au cours de la guerre. Dans de nombreux cas ils n'ont jamais participé à des activités militaires .
Le pire est que cette purification ethnique et culturelle unique en son genre, avec toute sa cruauté, demeure en grande partie inconnue, sauf de quelques petits groupes de spécialistes. Bizarrement ni le gouvernement d'Israël ni son peuple (à l'exception d'une petite minorité) n'ont exprimé le moindre regret ou le moindre sentiment de culpabilité. Au contraire, de manière à couvrir ou nier ce qui s'était passé, une gigantesque machine académique et politique a été mise en route, créant de nouveaux mythes en fonction desquels l'histoire a été réécrite pour présenter et promouvoir le récit des vainqueurs et préparer un nouvel épisode du sociocide.
Explications: http://www.mideastweb.org/fr-histoire.htm