Cyber @ction 266 : Huile au pétrole: pas dans nos assiettes !
Depuis quelques semaines, la Commission européenne et le gouvernement français laissent une huile contaminée par des hydrocarbures passer dans la chaîne alimentaire. A petites doses, elle arrive dans nos assiettes à notre insu, mais avec l'aval des pouvoirs publics.
Au point de départ de cette affaire, il y a une alerte lancée le 22 avril par un industriel suite à la détection d'une « huile minérale pure » dans de l'huile de tournesol achetée à Lesieur. Le lot contaminé provient d'Ukraine et l'ensemble de la cargaison a semble-t- il été saisi.
Mais des contrôles menés a posteriori ont révélé qu'une autre importation ukrainienne, déchargée à Sète en février, était elle aussi contaminée. Et pour ce lot, le « rattrapage » est beaucoup plus compliqué car l'huile est déjà dans la chaîne alimentaire.
La France n'est sans doute pas le seul pays concerné :
l'Allemagne,les Pays-Bas, l'Italie, la Grèce, Malte et l'Espagne sont eux aussi importateurs d'huile ukrainienne.
Les agences sanitaires européennes et françaises ont été saisies en urgence pour évaluer le risque potentiel pour les consommateurs.
Mais, curieusement, les pouvoirs publics se sont appuyés sur l'expertise des toxicologues pour définir un niveau de contamination tolérable, réputé sans risque pour la santé ! Concrètement, seuls les produits contenant plus de 10% d'huile de tournesol contaminée font l'objet d'un retrait. Pour le reste, ce sont les consommateurs européens qui dégustent...
Rappelons que, d'après l'administration française, le contaminant provient du raffinage du pétrole. Il est destiné à lubrifier des machines et non à entrer dans la composition des vinaigrettes, plats cuisinés ou mayonnaises !
Et pour couronner le tout, les pouvoirs publics émettent de simples « recommandations » qui, par définition ne sont pas contraignantes, pour les professionnels.
L'association de consommateurs CLCV (www.clcv.org) considère que cette crise est gérée d'une façon déplorable.
En effet :
- Dans son avis du 7 mai, l'Agence française de sécurité sanitaire des aliments souligne qu'il serait souhaitable de préciser plus finement la composition du contaminant. Les experts ne peuvent exclure qu'une fraction des huiles indésirables présente des risques plus élevés pour les consommateurs;
- Quand bien même il n'y aurait aucun risque sanitaire avéré, il est nadmissible que des produits qui n'ont rien à faire dans la chaîne alimentaire y soient ainsi tolérés ;
- Enfin, si l'origine de l'affaire est bien frauduleuse, comme tout semble l'indiquer, les autorités auront fait preuve d'un laxisme consternant en admettant qu'un produit non conforme soit proposé aux consommateurs.
L'association de consommateurs CLCV (www.clcv.org) demande que :
o Tous les produits potentiellement contaminés soient retirés purement et simplement de la chaîne alimentaire ; o Cette mesure de retrait ne soit pas une simple recommandation mais une obligation pour tous les professionnels.
Nous vous invitons à signer cette cyber @ction pour faire pression dans ce sens sur la commission européenne et le gouvernement français.
Charles PERNIN www.lepointsurlatable.fr, www.clcv.org, Alain UGUEN www.cyberacteurs.org
COMMENT AGIR ?
Sur le site
Cette cyber @ction est signable en ligne
http://www.cyberacteurs.org/actions/lettre.php?id=289
Par courrier électronique
C'EST FACILE : A VOUS DE SUIVRE LES 6 ETAPES SUIVANTES :
1- Copiez LE TEXTE À ENVOYER ci-dessous entre les ############
2- Ouvrez un nouveau message et collez le texte
3- Signez le : prénom, nom, adresse, ville
4- Rajouter l'objet de votre choix : Huile au pétrole: pas dans nos assiettes !
5- Adressez votre message aux adresses suivantes :
communication@dgccrf.finances.gouv.fr
contactpressecarrefour@rpca.fr
service.consommateur@fleurymichon.fr
Si vous copiez toutes ces adresses, vous pourrez les coller dans les destinataires du message
Si vous ne savez pas copier coller essayez les formules simplifiées
cliquer ici :
<mailto:cyberacteurs@wanadoo.fr;Helen.Kearns@ec.europa.eu>
ou ici (selon votre logiciel de messagerie <mailto:cyberacteurs@wanadoo.fr,Helen.Kearns@ec.europa.eu>
Vérifiez que les 2 adresses apparaissent bien
6- Envoyez le message
Cette cyber @ction est aussi signable en ligne http://www.cyberacteurs.org
Par cette action, vous ferez connaître votre opinion
- (dans la version simplifiée à la direction de la Consommation de la Commission Européenne et à Cyber @cteurs pour nous permettre d'évaluer l'impact de cette action.
- sur le site ou en copiant toutes les adresses, vous alerterez aussi la Direction de la Concurrence et de la Consommation française et les entreprises susceptibles d'utiliser l'huile incriminée :
SAIPOL,Unilever France,service consommateur Lesieur, Saupiquet, Carrefour, Association Nationale de l'Industrie agroalimentaire
############
Prénom, Nom
Profession :
Adresse :
code postal Localité :
Madame, Monsieur,
En accord avec l'association de consommateurs CLCV et l'Association Cyber @cteurs je vous demande que :
o Tous les produits potentiellement contaminés par des huiles minérales soient retirés purement et simplement de la chaîne alimentaire ; o Cette mesure de retrait ne soit pas une simple recommandation mais une obligation pour tous les professionnels.
Je vous prie d'agréer, Madame, Monsieur, mes salutations distinguées.
############
Autres adresses où vous pouvez adresser des messages
Huile frelatée
Sofiprotéol : Fabien Kay, Tél : 01 40 69 49 58 Mobile : 06 08 35 58
89 - Email : f.kay@prolea.com
SAIPOL : Pauline Ziadé, Tél : 01 40 69 48 56 Mobile : 06 74 80 54 12
- Email : p.ziade@prolea.com
PROLEA - Fabien Kay - Responsable relations presse - Tél : 01 40 69
49 58 - Email : f.kay@prolea.com
SAIPOL = SOCIÉTÉ AGRO INDUSTRIELLE DE PATRIMOINE OLÉAGINEUX =========================================
Unilever France (marques Knorr, Magnum, Astra, Puget, Fruit d'Or, Miko, Planta Fin, Amora, Maille …)
23 rue François Jacob
92842 Rueil Malmaison cedex
Tél : 01 41 96 51 00 ou 01 41 96 62 00
source : http://www.unilever.com/ourbrands/foods/carelinelist.asp
=========================================
LESIEUR :
service consommateur Lesieur : contact@lesieur.com 01.41.43.16.35
29 quai Aulagnier
92665 Asnières sur Seine
N° Azur : 0 810 193 702 (prix d'un appel local depuis une ligne fixe) http://www.lesieur.fr/ ou http://www.lesieur.com/ http://www.lesieur.fr/lesieur/fr/parlons/index.html (ouvre un formulaire en ligne).
Marques : Epi d'or, Frial, Fruidor, Lesieur, Olï, Le Jardin d'Orante, Isio4, Carapelli =========================================
Service Consommateurs Groupe Auchan
200 rue des la Recherche BP 682
59656 Villeneuve d'Ascq Cedex
Tél. : 03.28.37.67.00. N° azur : 0.810.28.24.26. Du lundi au samedi de 9h à 20h.
http://www.auchan.fr ou http://www.auchan.fr/html/contact/
contacts.asp (formulaire contact en ligne).
=========================================
Saupiquet (Marques : Furic, Paul Chacun, Pêcheurs de France, Saupiquet.)
17 bd G. Doumergue BP 50209
44200 Nantes cedex 02
Tél. : 02.51.88.32.32. N° Vert : 0.800.06.06.06.
E-mail : consommateurs@saupiquet.com
=========================================
Service Consommateurs Carrefour France
26 Quai Michelet TSA 50010 92695 Levallois Perret Cedex Tél. : 01.58.63.30.00. N° Azur : 0.810.06.60.00.
=
Direction Générale Groupe Carrefour :
TSA 20016 92695 Levallois Perret cedex Tél : 01 55 63 39 00 Fax : 01
55 63 39 01
=
Service de presse Alimentaire et Cosmétique : RPCA 65, rue Chardon Lagache 75016 PARIS Tél : 01 42 30 81 00 Fax : 01 40 50 35 55 E.mail :
contactpressecarrefour@rpca.fr
Site web : http://www.carrefour.fr Formulaire de contact en ligne :
http://www.carrefour.fr/contact/question/
=========================================
Fédération du commerce et de la distribution Page ouvrant un formulaire de contact ; http://www.fcd.asso.fr/
index.php?page=5
=========================================
ANIA (Association Nationale de l'Industrie agroalimentaire) :
=========================================
Intermarché
Page ouvrant un forulaire de contact : http://www.intermarche.com/ contact.aspx
=========================================
Fleury Michon : service.consommateur@fleurymichon.fr
DGCCRF : webmestre@dgccrf.finances.gouv.fr <webmestre@dgccrf.finances.gouv.fr>
DGAL : infodoc@agriculture.gouv.fr infodoc@agriculture.gouv.fr
DG sanco :page ouvrant un formulaire de contact :
http://ec.europa.eu/dgs/health_consumer/dyna/mailbox/index_en.cfm
Une autre version de la puce appelée " Veripay " de la firm Veri chip a été présentée en Novembre 2003 au salon ID World à Paris. Elle permet d'y inscrire des données personnelles en vue de servir de carte d'identité ou de carte de crédit.
L’eau du robinet est en général de bonne qualité en France si l’on prend comme critères d’évaluation les normes réglementaires. Cependant, les personnes malades du cancer ou qui sont passées par la maladie doivent bénéficier d’une eau potable de qualité irréprochable au nom du principe de précaution. Or, de nombreuses études établissent des liens entre cancer et polluants de l’eau.
l' article entier:
Du chlore, du plomb, des substances médicamenteuses, des nitrates et des pesticides !
la combinaison de plusieurs pesticides dans l’eau (« effet cocktail ») a des effets toxiques même lorsque chaque composé est individuellement au seuil toléré par les autorités. Enfin, plusieurs pesticides ont des actions hormonales démontrées (changement de sexe des têtards ou féminisation des poissons dans les rivières). Comme ils ne sont pas tous éliminés par les unités de traitement de l’eau, des dépassements sont constatés. Il est possible que l’eau contaminée agisse de façon délétère sur les personnes porteuses de cancers sensibles aux hormones (sein, ovaire, utérus, prostate, cerveau, par exemple).
Pesticides chimiques |
Les pesticides chimiques, herbicides, insecticides et fongicides, sont utilisés depuis 60ans en agriculture pour combattre les mauvaises herbes, les ravageurs et maladies des végétaux et en santé pour lutter contre les insectes vecteurs de maladies humaines ou animales. Toxiques et persistants, ils sont aujourd'hui une des principales sources de pollution de notre environnement et leurs résidus menacent la santé humaine ... |
Translation by Taty Lauwers
Mythe : Le soja est utilisé depuis de nombreux millénaires.
Réalité : Le soja a été utilisé pour la première fois au temps de la dynastie Chou (1134-246 A.JC.), après que les chinois ont appris à faire fermenter les graines de soja pour produire des aliments comme le tempeh, le natto, le tamari.
Mythe : Les asiatiques consomment de grandes quantités de soja.
Réalité : La consommation moyenne de soja en Chine est de 10 grammes (environ 2 cuillers à soupe) par jour et par personne ; dans certaines zones du Japon ce chiffre s’élève jusqu’à 60 grammes. Les asiatiques consomment le soja en petite quantité, comme condiment et non pas comme remplacement des protéines animales.
Mythe : Les aliments à base de soja sont porteurs des mêmes bénéfices de santé que les produits de soja traditionnellement fermentés.
Réalité : Les aliments modernes à base de soja ne sont pas fermentés, ce qui permettrait de neutraliser les toxines présentes dans les graines. Leur mode de fabrication dénature les protéines et augmente le taux de carcinogènes.
Mythe : Les aliments à base de soja sont une source de protéines complètes.
Réalité : Comme toutes les légumineuses, les aliments à base de soja sont déficients en acides aminés soufrés : la méthionine et la cystéine. De plus, les traitements modernes dénaturent la lysine, acide aminé fragile.
Mythe : Les aliments à base de soja fermentés sont une source de vitamine B12 indispensable aux régimes végétariens
Réalité : La substance assimilable à la vitamine B12 (l’analogue) dans le soja ne peut pas être utilisée à bon escient par le corps humain ; en réalité, la co.nsommation de soja augmente les besoins du corps en vitamine B12.
Mythe : Les laits maternisés à base de soja sont sûrs pour les nourrissons.
Réalité : Le soja contient des inhibiteurs de trypsine qui entravent la bonne digestion des protéines et fatiguent le pancréas. Dans les tests sur animaux, les régimes à haute teneur en inhibiteurs de trypsine a provoqué des fragilités du pancréas et des défauts de croissance. La consommation de soja augmente les besoins physiologiques en vitamine D, qui est nécessaire pour la santé des os et la croissance. L’acide phytique du soja réduit la biodisponibilité du fer et du zinc, utiles à la santé du cerveau et du système nerveux. On soupçonne les mégadoses de phyto-oestrogènes qui sont fournies aux nourrissons par l’intermédiaire des laits de soja d’être responsables du développement sexuel de plus en plus précoce des jeunes filles aux Etats-Unis et du développement sexuel retardé des garçons.
Mythe : Les aliments à base de soja peuvent prévenir l’ostéoporose.
Réalité : Le soja peut provoquer des déficiences en calcium et en vitamine D, tous deux garants de la solidité des os. En Asie, l’ostéoporose est prévenue par l’habitude ancestrale de consommer des bouillons maison (calcium), des produits de la mer, du lard et des abats (vitamine D).
Mythe : Le soja « moderne » peut protéger de plusieurs types de cancer.
Réalité :Un rapport commandé par le gouvernement britannique a conclu que peu de preuves étaient disponibles pour démontrer que le soja protégait contre le cancer du sein ou toute autre forme de cancer. En réalité, le soja peut entraîner un plus haut risque de cancer.
Mythe : Les phyto-oestrogènes présents dans le soja peuvent améliorer l’agilité mentale.
Réalité : Une étude récente a démontré que les femmes dont le sang était le plus chargé en oestrogènes témoignaient du plus bas niveau de fonctions cognitives ; chez les japonais américanisés, la consommation de tofu en milieu de vie est associée à l’apparition de la maladie d’Alzheimer plus tard.
Mythe : Les oestrogènes du soja (isoflavones) sont bonnes pour la santé.
Réalité : Les isoflavones du soja bloquent les voies phyto-endocrines. A des niveaux tels qu’on peut les consommer quotidiennement, ils peuvent empêcher l’ovulation et stimuler la croissance de cellules cancéreuses. On associe des doses aussi minimes que 4 cuillers de soja par jour à de l’hypothyroïdisme (symptômes de léthargie, constipation, prise de poids et fatigue).
Mythe : Le soja protège des maladies cardio-vasculaires.
Réalité : Chez certaines personnes, la consommation d’aliments à base de soja réduit le taux de cholestérol, mais il n’y a aucune preuve qu’un taux bas de cholestérol réduit le risque cardio-vasculaire.
Mythe : Le soja est un aliment sûr et peut aider les femmes après la ménopause.
Réalité : Le soja peut stimuler la croissance de tumeurs œstrogène-dépendantes et provoquer des troubles de la thyroïde. Une fonction thyroïdienne diminuée est associée avec les troubles de la ménopause.
Mythe : Les isoflavones de soja et les isolats de protéine de soja ont reçu le statut officiel GRAS aux Etats-Unis (Generally Recongnized As Safe)
Réalité : La société ADM (Archer Daniels Midland) a récemment retiré sa demande à la FDA (Food & Drug Administration, ministère ad hoc aux Etats-Unis) de reconnaître le statut GRAS aux isoflavones de soja, après que des protestations ont été émises en grand nombre par la communauté scientifique. La FDA n’a jamais octroyé le statut « GRAS » pour les isolats de protéines de soja à cause de l’éventuelle présence de toxines et de carcinogènes dans ce soja manufacturé.
Mythe : Le soja vous rendra une vie sexuelle joyeuse.
Réalité : De nombreuses études sur les animaux ont démontré que les aliments à base de soja provoquent la stérilité. La consommation de soja stimule la croissance pileuse chez les hommes d’âge moyen, ce qui indiquerait des taux de testostérone diminués. Les moines bouddhistes consommaient du tofu pour éteindre leur libido.
Mythe : La culture des graines de soja est saine pour l’environnement.
Réalité : La plupart des graines de soja cultivées aux Etats-Unis sont modifiées génétiquement pour permettre aux exploitants d’utiliser de fortes doses de pesticides.
Mythe : La culture des graines de soja est bénéfique aux pays en voie de développement.
Réalité : Dans les pays du tiers-monde, le soja remplace les cultures traditionnelles et prive la population locale de la valeur ajoutée que peut apporter la transformation d’un aliment pour la transférer dans les mains de corporations multinationales.
© 1999 Weston A. Price Foundation. All Rights Reserved.
et avec la politique,
Notre lecteur, Alain Delmas, nous a envoyé ce billet d’humeur dont nous reprenons bien volontiers l’essentiel. Rentrons dans le vif du sujet :
« Selon eux, les St Bernard de la planète, le Tamiflu est cet antiviral à prendre en cas de grippe. Au fait, vérifiez avant de vous précipiter dessus, les effets probables de ce médicament. Ça fait froid dans le dos, ça peut même vous donner de gros frissons, signes peut-être d’un début de grippe ou d’une aggravation… Bon, ma copine pharmacienne m’a rassuré : c’est devenu un réflexe, chaque laboratoire pharmaceutique se fend d’une interminable liste de contre-indications et, comme ça, si d’aventure vous mourrez, vos ayant droits n’auront aucun recours…
Curieux de nature, un gros défaut avouons-le, je me suis posé la question : qui est derrière ce Tamiflu ? Internet, puissance tutélaire m’a donné, via les moteurs de recherche qui pullulent, certains disent que ce sont de vraies… pestes, eux justement, les maîtres du monde, inquiets des effets collatéraux de leur invention… Des éléments de réponse n’ont pas tardé à imposer un nom, celui de Donald Rumsfeld. Détails.
En 1996, le brevet d'un antiviral inhibiteur de certaines formes de grippe, le Tamiflu justement, est cédé par le président et principal actionnaire de la firme « Gilead Sciences inc », Donald Rumsfeld en personne, aux Laboratoires Roche, moyennant beaucoup de sous et de futures royalties sur les ventes à venir de l'antiviral.
Euh, bien sûr, pour que le Tamiflu se vende bien et plus que bien, il faut des grippes. Rassurons-nous, elles arrivent. En 2005-2006, premières alertes mondiales sur une grippe, la grippe aviaire.
Toujours Secrétaire de la Défense des USA sous la Présidence Georges W Busch et toujours principal actionnaire de « Gilead Sciences inc », Donald Rumsfeld est aux premières loges. En tant que responsable politique, il fait acheter du Tamiflu en masse. Les royalties pleuvent. Plein d'autres pays avec des sous achètent : au prix fort. Les pays sans l’sous, on s'en fout car en cas de réelles pandémies celui qui est avec des sous n’a pas d’autre choix que de prendre en charge celui qui est sans l’sous. Comment faire autrement si l’on veut éviter la pandémie, n’est-ce pas ! Question subsidiaire qu’on peut néanmoins se poser : veut-on vraiment éviter la pandémie car sans pandémie, pas ou moins de sous…
En 2006, tiens, coup de bol, la grippe aviaire devient une menace planétaire.... Simple coïncidence ? C’est ce que nous voulons croire. Gouverner c’est prévoir. Peut-on prévoir une grippe ? C’est vrai, il y en a chaque année, la marge d’erreur est donc faible.
Des milliards de dollars de ventes de Tamiflu sont ainsi réalisées et des stocks mondiaux constitués par les Etats qui ont les finances suffisantes et qui peuvent ainsi rassurer leurs concitoyens : on s’occupe de tout, on s’occupe de vous ! Le retour sur investissement est considérable.
Nombre de victimes de cette présumée pandémie : à ce jour, environ 150 personnes... Pas plus que d'habitude dans ces pays ou les conditions d'hygiène et la proximité de vie avec les animaux sont les principales raisons de ces transmissions et de ces décès. La vie ne vaut rien mais rien ne vaut la vie, les paroles d’Alain Souchon résonnent dans ma tête. La vie a un prix tout de même !
Rappelons au passage que, d’après l’OMS, la grippe basique, banale, est à l'origine d'environ 300 000 à 500 000 décès dans le monde chaque année, des morts que l'on pourrait requalifier en cochant la case grippe, celle la plus appropriée aux affaires du moment. En ce moment, on est en plein dedans, n’hésitons pas et… cochons « grippe porcine » dans la colonne.
Début 2009, dommage ! Il existe une date de péremption sur les boites de Tamiflu : maximum 5 ans. Et oui, on y arrive, 2009 moins 2006 = 4 ans. À la fin de l’année, tous les stocks seront périmés.
Avril 2009 : chouette, une grippe porcine... Ouf ! Et quelle chance, on a du Tamiflu plein les armoires à pharmacie. On consomme avant la date limite et puis on repassera des commandes.
J'arrête là, on va dire encore que je suis complètement parano... et pourtant ! ».
Alain Delmas
Avec cette histoire, difficile de ne pas regarder bizarrement le poulet que l’on s’apprête à manger !
1.400 tonnes de poulet avarié viennent d'être saisies en Ukraine par la justice. Les enquêteurs belges, à l’origine des investigations, pensent que la viande provient de stocks datant de la crise de la dioxine. Quatre grandes firmes européennes sont impliquées...
Aujourd’hui, les viandes conservées depuis étaient convoyées jusqu’en Ukraine. Là, elles étaient transformées, et réexpédiées dans l’UE sous forme de hamburgers ou de saucisses.
En savoir plus:
http://www.lepetitjournal.com/content/view/30880/204/
AHIMSA est un mot sanskrit que Gandhi a traduit par non-violence: "C'est l'amour, autrement dit la non-violence, qui soutient une planète comme la nôtre". AHIMSA est un organisme à but non lucratif qui vise à défendre, promouvoir et favoriser les intérêts, les besoins et les droits des animaux. AHIMSA informe et encourage les comportement pacifiques à l'égard des animaux et de la nature par la voie du coeur et de la compassion. AHIMSA existe depuis 1987
11'000 tonnes de fromage avarié ou périmé ont été "recyclées" puis remis en vente dans toute l'Europe. C'est ce que révèle une enquête publiée dans le quotidien italien La Repubblica vendredi.
Les enquêteurs ont découvert des fromages contenant des vers, des crottes de souris… des restes de plastique et même de l'encre des étiquettes! Ces fromages étaient mélangés à d'autres fromages "frais" pour en faire, par la suite, des mozzarellas, gorgonzola et d'autres fromages vendus dans tout l'Europe.
Les sociétés laitières au coeur du scandale sont italiennes, britanniques, allemandes et autrichiennes. Les entreprises se débarrassaient des produits avariés ou périmés auprès de sociétés basées en Italie et en Allemagne, toutes gérées par un seul et même homme: un homme d'affaire sicilien. Les quatre sociétés de recyclage auraient empoché près de 10 millions d'euros. Quant à la vente des produits commercialisés à partir des fromages recyclés, elle aurait rapporté des centaines de millions d'euros, selon La Repubblica.
Dans le rapport des enquêteurs, on apprend que la marque italienne Galbani, qui exporte ces produits partout dans le monde, était l'un des principaux fournisseurs des entreprises de recyclage.
L'enquête menée par les policiers a duré deux ans et a déjà permis l'arrestation de trois personnes. Le juge en charge de ce scandale alimentaire a déclaré que "l'altération et la contrefaçon de substances alimentaires laitières et fromagères les ont rendues dangereuses pour la santé publique".
________________________________________
________________________________________
Je sais pas si pour vous c'est pareil mais moi je commence serieusement à en avoir marre de tout ces types qui s'en mettent plein les poches sans aucun scrupules !
________________________________________
... pour tous. Si tout ça c'est vrai alors c'est grave !
http://www.next-up.org/Newsoftheworld/PressReviewRevuePresse042007.php#1
Voici une étude sérieuse sur la
à vous maintenant d'en avoir conscience.
+
http://www.next-up.org/Newsoftheworld/WHO_OMS.php#1
IMPORTANT:
L'appel des vingt contre le portable
http://www.next-up.org/Newsoftheworld/AppelCallFrance.php#1
http://www.guerir.fr/magazine/telephones-portables/appel-precaution-utilisation-telephones-portables
Rappelons brièvement les faits :
- La société Saipol, propriétaire de la marque Lesieur, et grossiste en huile, a acheté à vil prix un lot de 40 000 tonnes d'huile de tournesol ukrainienne.
- Exerçant son métier, cette société a revendu avec profit cette huile à d'autres multinationales de l'agroalimentaire.
- Un contrôle a posteriori a mis en évidence la présence frauduleuse dans ce lot d'huile minérale destinée à la lubrification des moteurs.
- Même s'il n'est pas établi que ce mélange peu ragoûtant soit méchamment toxique, eussions nous eu affaire à des gens responsables que ce lot eût immédiatement rejoint la seule destination qui lui seyait : la poubelle.
- Que croyez-vous qu'il arriva ? Ces empoisonneurs dont l'avidité autant que la veulerie sont sans limite, ont néanmoins décidé d'utiliser sciemment cette huile pour composer leurs produits de merde.
- Le pire, c'est qu'ils ont eu l'accord des autorités (françaises et européennes) qui ont décrété que tant que les produits n'en contenaient pas plus de 10%, personne ne devait tomber trop malade.
- Ils ont 40000 tonnes à écouler, un peu plus de 5000 pour la seule France. Cela fait environ 100 grammes de saloperie par habitant
à faire ingurgiter !
- La Grèce, dont les autorités semblent moins irresponsables que les nôtres, vient de réagir et d'interdire l'utilisation de tous les lots depuis le 1er janvier.
Mais chez nous, dans nos hypermarchés, il y a donc en ce moment dans des produits contaminés à l'huile de moteur !
C'est le Canard Enchaîné qui a révélé l'affaire il y a 2 semaines, avec des reprises le jour même dans la presse nationale. Puis plus rien, tout le monde s'en fout.
La semaine dernière, le Canard publie une liste de marques et des types de produits concernés. Aucune réaction cette fois:
Enfin hier, le Canard publie des notes internes de l'ANIA (Association Nationale des Industries Alimentaires), qui montrent l'envers du décor, comment les industriels vivent la crise, en chiant dans leur froc et priant que l'info ne soit pas reprise et que le temps efface rapidement cette histoire.
"Il a été décidé hier en réunion de crise à l'ANIA de ne pas répondre au Canard enchainé formellement. Un projet de communiqué de presse, préparé la semaine dernière, a été réactualisé.
Le communiqué de presse ne sera pas diffusé en proactif. Nous attendons la prochaine parution du Canard Enchaîné et les éventuelles reprises par la presse pour réagir."
"Par rapport à l'article de mercredi dernier,cette nouvelle parution n'apporte pas d'éléments clés supplémentaires et n'est pas à la Une du journal. En revanche, de nombreuses marques sont citées, ainsi qu'une liste à la Prévert de nombreux produits incorporant de l'huile de tournesol, ce qui n'était pas le cas la semaine dernière mais que l'on craignait"
Ces gens là sont capables d'importer n'importe quelle denrée alimentaire de l'autre bout du monde, dans le seul but de gagner de l'argent. Ils n'ont plus la moindre emprise sur la "traçabilité" des produits qu'ils achètent ainsi, qui peuvent être trafiqués, bourrés de pesticides ou de n'importe quelle autre merde. Et qu'ils ne viennent pas prétendre le contraire, puisque cette sombre affaire en fournit une preuve éclatante.
D'ailleurs un produit importé au prix le plus bas est une quasi certitude de mauvaise qualité doublée d'exploitation des humains qui ont servi à le produire, triplée d'une pression sur l'emploi et le salaire des salariés français.
Ce sont les mêmes qui vendent leurs produits au prix fort en geignant sur la hausse des matières premières, et nous gavent de pubs ineptes avec enfants blonds et mamans épanouies qui éprouvent un plaisir intense à bouffer leurs saloperies suremballées dans d'affriolants plastiques aux couleurs vives.
Il faut lutter contre ces pratiques ! Ils faut lutter contre ces salopards ! Et il faut rappeler à Monsieur Delanoë que c'est ça, le libéralisme !
Comme on l'a vu, leur plus grande trouille est que le nom des marques s'ébruite, ce qui pourrait occasionner une baisse de leurs ventes et de leurs sacro-saints profits, qui les aveuglent à un point tel qu'ils sont capables pour cela d'empoisonner leurs clients sans remords.
Alors dénonçons les, ces sinistres pleutres ! Et vous camarades lecteurs, relayez l'information ! Selon vos moyens, parlez-en autour de vous, dans vos blogs, dans vos journaux, et surtout, CITEZ LES MARQUES, c'est de ça dont ils ont la trouille !
Les marques concernées, à boycotter d'urgence et durablement, sont les suivantes :
Lesieur, bien évidemment, puisque leur avidité est à l'origine du problème et toutes les marques du groupe :
Fruit d'or
Epi d'or
Frial
Isio 4
Oli
Carapelli
Saupiquet
Toutes les marques du groupe Unilever <http://www.unilever.fr/ourbrands/foods/default.asp <http://www.unilever.fr/ourbrands/foods/default.asp> > , par exemple
Amora
Planta Fin
Maille
Knorr
Magnum
Miko
….
Les poduits les plus susceptibles de contenir de l'huile empoisonnée sont les suivants :
Mayonnaise
Tarama
Sauce Béarnaise
Chips
Vinaigrette allégée
Surimi
Céleri Rémoulade
Soupe de poisson en conserve
Poisson pané
Paupiettes de veau
Thon et sardines à l'huile
Pates à tartiner chocolatées
Gaufrettes à la confiture
Barres céréalières et sucrées pour les enfants
Cookies
Merci d'avance, et faites tourner !
C'est important que nous réagissions tous et ne continuons pas d'être les vaches à lait de ces financiers spéculateurs.
Oui, la voiture à air comprimée existe et elle est vendue en Inde pour 3500 euros !
Le plein coûte 2,50 euros !
De plus, avec des panneaux solaires à la maison c'est la totale !
voici une explication :
MDI, société française qui produit des moteurs à air comprimé non polluants (voir notre article sur l’air car), vient de signer un accord avec Tata Motors, le plus important constructeur automobile en Inde pour l’utilisation de ses moteurs. Le groupe MDI est dirigé par Guy Negre qui a crée la compagnie en 1990 à la poursuite de son rêve de développer un moteur propre utilisant de l’air comprimé comme carburant. L’accord aura pour conséquence l’implication de Tata Motors dans le développement de la technologie de moteurs à air comprimé déjà utilisée sur la MiniCat.
Rappelons que le réservoir se recharge sur une simple prise électrique en 4h pour un coût de €1.50 et permet une autonomie de 150km.
Une pompe à air comprimé est à l’étude pour permettre un plein du réservoir en 3 mn pour un coût estimé à €2.50 (le coût d’un véhicule essence pour un parcours de 150km étant approximativement de €9).
«MDI travaille depuis de nombreuses années à la conception de moteurs respectueux de l’environnement. MDI est heureuse de conclure cet accord avec TATA et de travailler avec cet expérimenté et grand groupe industriel pour développer cette nouvelle et économique technologie ainsi que ses diverses applications sur le marché indien qui doit suivre maintenant une réglementation très stricte en matière de protection environnementale. Nous poursuivons le développement de notre propre concept industriel en licenciant dans les autres pays du monde, des petites unités de productions proches des marchés.
Nous avons aussi développé cette nouvelle technologie pour d’autres applications ou se combinent l’économie en matière de coûts dans le respect de l’environnement qui est notre priorité. » a déclaré Guy Nègre.
Tata Motors compte plus de 4 millions de véhicules immatriculés en Inde, est N°1 sur le marché des véhicules commerciaux et le second plus gros constructeur de véhicules particuliers. C’est aussi le cinquième des constructeurs mondiaux de camions de poids moyen et lourds et le second plus gros constructeur d’autobus
Un allié de taille pour la technologie française développée par Guy Nègre et peut être une excelente nouvelle pour l’environement.
Alors ... qu'est ce qu'on attend pour tous se mettre d'accord et demander illico-presto la commercialisation de ce vehicule en France.
Soyons unis pour une fois !
Tout ceci n'est possible que si chacun d'entre nous se sent concerné et s'investit au quotidien : dans nos achats, dans nos maisons, dans nos jardins, dans nos voyages, il est possible d'agir !